Alors j’ai dit : « D’accord, nous sommes prêtes à partir, mais j’aimerais demander à cette femme ce qu’elle veut faire. » Et puis je lui ai demandé devant tout le monde. Je lui ai expliqué le but de notre visite et lui ai demandé ce qu’elle aimerait que nous fassions. Sans dire un mot, elle m’a suivie hors du village. Elle m’a accompagnée. Elle a décidé de quitter la communauté avec une personne totalement inconnue.
13.09.2021 | par Shashi Sail
Cette identité mise en scène se rempli du plein apporté grâce au frottement de ce corps et de sa perception à celle des autres. Il réussit à faire émerger un tiers-espace où l’identité subjective et subversive peut s’exprimer. Ce tiers-espace devient une dimension imaginaire de son art où la multiplicité des regards est possible. Son art est le pur produit de ce qu’Edouard Glissant revendiquait déjà dans ses textes : créer une identité-rizhome afin d’« échapper à l’œil du maître ».
26.03.2013 | par Joanna Espinosa
De telles vies peuvent être affectées sans être l’objet d’un « duel », la précarité est nécessaire pour la protection du style de vie ou de la vie d’autres sujets. On ne peut donc pas penser au corps sans tenir compte des conditions qui le rendent vulnérable à la précarité, que ce soit des questions relatives au genre, à l’origine, à l’orientation sexuelle, à la sexualité, à la classe sociale, à la race, à la différence culturelle, à la maladie, à l’incapacité, à l’aspect physique ou à l’âge. Dans ce sens, nous prétendons insister moins sur la politique identitaire ou sur les prétentions identitaires (et sa subversion trompeuse) et plus sur la précarité et ses distributions de la différence et de l’exploration sur les cartes du pouvoir contemporain.
19.02.2013 | par Buala