’histoire de l’Afrique nous enseigne que la notion d’Etat est bien récente et que les frontières actuelles ont été tracées par les puissances coloniales souvent au détriment des ethnies et des populations migrantes. Souvent reniées, marginalisées ou simplement oubliées, ces identités ne cessent aujourd’hui d’être réaffirmées parfois même au prix du sang. Un travail de mémoire qui porterait sur ces identités antérieures me semble nécessaire. Ce n’est qu’à cette condition que nous pourrions nous réconcilier avec notre passé et envisager un avenir commun pacifié.
Tête-à-tête
10.11.2015 | par Icaro Ferraz Vidal Junior