Paulo Flores en France (Paris et Toulouse)

La VOIX de Paulo Flores, douce et chaleureuse, vibrante et grave, nous conte des histoires de l’Angola en ce début du XXIème siècle. C’est la voix de l’âme, du blues et de la fête qui s’adresse à chacun de nous pour nous entraîner dans un concert d’harmonies et d’humanité.

Paulo Flores est depuis vingt cinq ans un artiste majeur, immensément populaire en Angola et très aimé par lespublics de langue portugaise. Il présente pour la première fois en France le disque et le concert EXCOMBATENTES. C’est également la première fois que le Théâtre de la Ville reçoit un artiste d’Angola.

EXCOMBATENTES Redux, l’album qui sort en France, ce sont 15 titres extraits du coffret trois albums sorti en 2009, EXCOMBATENTES que Paulo a réalisé entre Luanda, Rio de Janeiro et Lisbonne, avec des musiciens de l’Angola, du Brésil, du Portugal et de pays africains de langue portugaise. Cette treizième création discographique est une oeuvre de la maturité.

Paulo Flores est né il y a 40 ans à Luanda, capitale de l’Angola. Les “Ex-Combattants”, dont il raconte la vie sur nombre de ses titres, ce sont les millions d’Angolais qui ont survécu durant plus de 40 ans dans un pays en état de guerre : les combats contre le colonialisme portugais furent suivis, après l’indépendance en 1975, par les affrontements entre les deux grands partis, soutenus par des puissances étrangères attirées par les richesses dupays. La paix ne fut scellée qu’en 2002. La musique est un creuset de résistance, une expression de vie et d’espoir.

Avec les grands artisans de la tradition luandaise, Paulo Flores a exploré la pulsation magique sur laquelle les guitares chantent en tons mineurs : la virtuosité du doigté sur les cordes, le cadencement de la guitare basse, lebattement sourd des batuques. Il a su créer “son” semba, mêlant les sons d’hier et d’aujourd’hui. Il a ainsi contribuéà entraîner la jeune génération à la redécouverte du riche patrimoine angolais. À partir de cellules rythmiques et mélodiques de tout le pays, Paulo Flores compose à la guitare des formes modernes, qu’il pare d’orchestrationssingulières. Son inspiration s’enrichit au gré de ses voyages et de ses rencontres.

Les accents brésiliens de certains titres trouvent leur origine dans la longue histoire, tragique et féconde, qui unitles peuples de l’Angola au géant sud-américain. Paulo transforme cet héritage en dialogue atlantique. Plusieurs musiciens brésiliens ont participé à EXCOMBATENTES ; notamment le violoncelliste Jaques Morelenbaum, avec lequel Paulo travaille régulièrement depuis dix ans, et le percussionniste Marcos Suzano.

Les chants et les danses du Cap Vert et des autres pays africains autrefois colonisés, comme l’Angola, par le Portugal, font partie de la vie de Paulo. Il chante en duo, sur scène et sur disque, avec Mayra Andrade. Despulsations, des sons, des couleurs, venues de toutes les Afriques, se font entendre sur certains titres. L’Afrique quele “premier monde” n’entend pas. Paulo nous communique son énergie de la survie et de la création au quotidien. Sur le ton de la complainte, en mélodie chaloupée, ou sur un rythme très dansant, les mots de Paulo Flores saisissent des images furtives de fête et d’amitié, de tragiques flashs de misère et de violence, des séquences tendres et intimes. Il lance des cris d’alerte et de révolte contre l’injustice et la brutalité d’un système prédateur qui contrôle les richesses et cloisonne la société. Il exprime sa perplexité devant la nouvelle Angola, riche et inégalitaire. Sa créativité musicale et sa générosité artistique ont conquis les coeurs de plusieurs générations qui se pressent par dizaines de milliers dans ses concerts.

Sur scène, au Théâtre de la Ville, Paulo Flores sera entouré de trois générations de talentueux musiciens de styles différents. Un puissant trio de guitares: Tedy Nsingi, vétéran de la soul angolaise, Pirica Duya, digne héritier desgrands solistes luandais, Manecas Costa, intrépide virtuose venu de la Guinée-Bissau. Le parcours du jeune clavier Armando Gobliss relie l’Angola et le Congo. Le batteur João Ferreira, le bassiste Mias Galheta, le percussionniste Dalú ont beaucoup contribué, par leurs singularités et leurs versatilités, à la revitalisation de lascène musicale en Angola. À la voix de Paulo s’associeront les choeurs de Zizi Vasconcelos et Rita Damazio. Pourle concert au Festival Rio Loco à Toulouse, trois cuivres et le chateur Yuri da Cunha viendront compléter la formation.

Auteur-compositeur prolifique et talentueux, Paulo Flores embrasse la profusion musicale de son pays pour la projeter au diapason des vibrations du monde. Sa singularité créative est constamment renouvelée par les échos dela vie et les connexions avec divers lieux de notre planète. L’intimité individuelle est traversée par les cris du monde.

Paulo Flores vient à la rencontre du public français, pour des instants magiques d’harmonie et d’allégresse. Il offre ses mélodies, sa poésie, sa personne pour nous faire partager ses émotions d’Angolais, en ce début du XXIème siècle.

26.04.2012 | par herminiobovino | angola, Music, paris, Paulo Flores

Superpower: Africa in Science Fiction

Exhibitions Sat 5 May - Sun 1 Jul

Free

 

João Maria Gusmão & Pedro Paiva
Kiluanji Kia Henda
Luis Dourado
Mark Aerial Waller
Neïl Beloufa
Neill Blomkamp 
Omer Fast
Pawel Althamer
The ARPANET Dialogues
Wanuri Kahiu

Superpower: Africa in Science Fiction surveys the recent tendency for artists and filmmakers to apply the forms and concerns of science fiction to narratives situated in the African continent. It considers the complex undercurrents for this occurrence in art today, and posits other and possible realities existing simultaneously, via careful re-orientations of tense; elevating the need for vigilance towards the present and future over a concern for the past.

Africa has had a rare yet distinct place in popular science-fiction, from the opening scenes of Stanley Kubrick’s iconic 2001: A Space Odyssey, depicting the mysterious appearance of a black monolith in the cradle of civilization, to the recent success of Neill Blomkamp’s debut movie District 9, a multi-layered allegory on South Africa’s recent internal and external tensions. Imagining a new space-time to the typical “third worldist” representations of the African continent, caught in a perpetual state of crisis, the works in Superpower project an alternative landscape of possibilities.

Works include Neïl Beloufa’s compelling video installation Kempinski (2007), a ‘science fiction documentary’ (pictured). In it, a series of short monologues given by inhabitants across Mali describe their visions of the future - from telepathic communication to teleportation - as if they were present realities. Turning the monuments and mausoleums of a failed communism into spaceships, Kiluanji Kia Henda’s series of photographs Icarus 13 (2006) document the preparations for the first ever expedition to the sun led by the Angolan government. Wanuri Kahiu’s filmPumzi (2010), set on a post-apocalyptic Earth, follows a scientist’s quest to regenerate biological life literally underneath a repressive subterranean Nairobi culture.

Gusmão and Paiva film the world as if for the first time, producing an “alien theory” of moments in 16mm, while Mark Aerial Waller’s Superpower - Dakar Chapter(2004), colliding times and video formats, uses TV soap actors from the Senegalese capital as astronomers awaiting a future event. The exhibition also includes garlanded South African movie director Neill Blomkamp’s early short films and Omer Fast’s three-part installation Nostalgia (2009), which reconfigures document and dramatization, past and future. Superpower will be reflexive of the ever-ubiquitous exhibition format of the regional or national showcase, foregrounding the modes of representation rather than considering the artist as a regional representative.

Whilst holding up a mirror to Eurocentrism in the contemporary world, more significantly here, the model of science fiction offers speculative viewpoints on Africa that supersede the necessity of recourse to essentialisms and history. Also avoiding such genres as Afro-futurism, which located the means of producing the future amongst the African diaspora specifically, Superpower: Africa in Science Fiction presents works by artists based across the European and African continents that raise a number of questions around the position of Africa in the collective conscience - actively participating in the battle to represent the future.

Join us for a discussion event relating to the exhibition.

Harbourside Arts Night

5.00pm-7.30pm
Superpower: Africa In Science Fiction preview

6.00pm-9.00pm
Spike Island Open preview

6.00pm-9.00pm
Picture This, Jimmy Robert, consensus rouge noir (Bristol) preview

6.00pm-8.00pm
Works|Projects, Magnus Quaife, 1968 and Other Myths preview

9.00pm till late
Party in Spike Café

from Arnolfini

24.04.2012 | par martalanca | fiction

Próximo Futuro. 12 Maio, LISBOA

2.º Observatório de África e da América Latina: “O Lugar do Design e da Moda no Norte de África” (12 de Maio 2012)

http://www.proximofuturo.gulbenkian.pt/

23.04.2012 | par franciscabagulho | próximo futuro

Primeiro Encontro de Estudantes de Santo Antão em Portugal

Primeiro Encontro de Estudantes de Santo Antão em Portugal que terá lugar no dia 21 de Abril de 2012, na Casa do Alentejo, Rua Portas de Santo Antão, nº 58 [Em frente ao Café Mindelo - Rossio] entre às 9h00 e às 23h00.

Segue em anexo o programa e o cartaz da conferência e os respetivos painéis temáticos.

Sinopse - N.E.S.A.:
O N.E.S.A. Portugal - Núcleo de Estudantes de Santo Antão em Portugal - tem como objetivo prioritário fomentar o diálogo, a reflexão, a cooperação e a solidariedade entre jovens estudantes e investigadores de Santo Antão e as autoridades regionais e nacionais, visando a discussão descomplexada de questões fulcrais para o desenvolvimento da nossa ilha.

É ainda nosso objetivo, definir estratégias e planos de ação que vão de encontro com a nossa contribuição, direta ou indireta, no desenvolvimento de Santo Antão, enquanto quadros/cérebros, para além de constituirmos potenciais elos de ligação entre os estudantes e investigadores veteranos residentes em Portugal e os estudantes “caloiros” que todos os anos chegam para darem início aos seus percursos académicos.

É neste sentido que no Primeiro Encontro de Estudantes de Santo Antão em Portugal, subordinado ao tema “Santo Antão e a Integração na Economia Nacional – Que Oportunidades?”, debateremos questões tais como:
- Poder Local, a Descentralização e a Regionalização;
- Que modelos de turismo para Santo Antão;
- A Economia e a Justiça;
- O impacto da Cultura no Desenvolvimento de Santo Antão;
- A Educação e o regresso de quadros superiores à ilha natal e o Ensino Superior para Santo Antão.

Sob o lema: “Pensar Santo Antão”.
Apareça para juntos debatermos “Santo Antão e a Integração na Economia Nacional: Que oportunidades?”
Com a mais elevada consideração,
O Núcleo de Estudantes de Santo Antão em Portugal - [N.E.S.A. Portugal]

20.04.2012 | par herminiobovino | encontro de estudantes, Santo Antão

Projeto "Ocupação negra"

Uma das mais tradicionais companhias que trabalham com a cultura afro-brasileira, a Cia. Rubens Barbot, está completando 21 anos e a cidade do Rio de Janeiro vai ganhar o presente. O projeto Ocupação Negra estreia no dia 20 de abril com o espetáculo de dança Um Rio, de Janeiro-a-Janeiro, no Centro de Artes Calouste Gulbenkian, que receberá até o dia 6 de maio inúmeras atividades: Dança, oficinas e workshops com renomados bailarinos, filmes e vídeos sobre a temática  da Dança Contemporânea e da Cultura Afro, Exposição de tapeçarias e de fotografias da Cia e palestras.

Gatto Larsen, coordenador de produção da companhia explica orgulhoso de como será a “Ocupação”: “A Cia Rubens Barbot está completando 21 anos e nossa Ocupação Negra é um grande presente para nosso público fiel desta Cidade Maravilhosa. Todas as atividades e o espetáculo são gratuitos. Nossa intenção é realmente ocuparmos o Centro de Artes Calouste Gulbenkian com muitos corpos, gestos, imagens e sensibilidades sob uma perspectiva cultural e humana!” – explica Gatto Larsen.

Sinopse dos eventos:
Um Rio, de Janeiro-a-Janeiro
Um olhar sobre a gestualidade do carioca. É nesta direção que o espetáculo de dança contemporânea Um Rio, De Janeiro-a-Janeiro segue para contar um pouco das histórias carioca. Seu humor, seu deboche, sua sensualidade, seu ritmo e suas histórias corporais. Destaque para a trilha sonora que vai de Cartola, Paulinho da Viola, Luiz Melodia até Jorge Aragão, Agrião e Carlos Dafé. De 20 de abril a 06 de maio (sexta a domingo, às 20h). Entrada franca, com senhas distribuídas das 18h30 às 19h30. Classificação livre.

Oficinas e workshops
Duas oficinas serão ministradas durante a Ocupação Negra: “Linguagem à Companhia” e “Técnica Horton”. A primeira, que acontece entre os dias 24 e 27 de abril, contará com o coreógrafo e diretor da Cia que leva seu nome, Rubens Barbot e a bailarina e doutora em Corporologia, Cláudia Ramalho. Já a segunda, será ministrada pelo coordenador geral do Instituto Oyá e diretor artístico da Cia C Dança Negra Contemporânea, Elísio Pitta; e acontece entre os dias 30 de abril e 4 de maio. Sempre das 8h às 12h. Vagas: 25.

Os workshops “Danças religiosas de matriz africana na contemporaneidade” e “Hip-hop no contexto da Cia Rubens Barbot” serão conduzidos pelos bailarinos Ulisses Oliveira e Wilson Assis, respectivamente. A primeira será realizada nos dias 28 e 29 de abril, enquanto a segundo nos dias 5 e 6 de maio. Das 10h às 12h. Vagas: 25.

Inscrições pelo email: dancarb@ig.com.br
Filmes e vídeos
Nove vídeos serão exibidos entre o dia 24 de abril e 4 de maio. Dentre eles estão curtas, documentários e registros da própria Cia  e da dança negra contemporânea de maneira geral, a saber: Ensaio de Cinema; Desorganizadores de Fichários; Toque de Dança; EletronicZumbi; Em Pleno Meio Dia da Nossa Noite; Ensaio de Cinema; Tempo de Espera; Quase uma História; O Reino do Outro Mundo – Orixás; 40+20.

Exposição e Palestras
Retalhos de Barbot (tapeçarias) e fotografias de making of da Cia serão expostas na Galeria Ismael Nery do Centro de Artes Calouste Gulbenkian. O diretor de produção Gatto Larsen e a pesquisadora Cláudia Ramalho darão palestras sobre espetáculos corporais nos dias 3 e 4 de maio, respectivamente. Às 16h30.

 Wilton Montenegro/Cia. Rubens Barbot Wilton Montenegro/Cia. Rubens Barbot

Serviço:
Ocupação Negra
De 20 de abril a 6 de maio
Centro de Artes Calouste Gulbenkian
Endereço | Rua Benedito Hipólito, 125 – Praça XI
Entrada franca
Informações para imprensa
Márcia Vilella | Diego Cotta
Target Assessoria de Comunicação
21 2284 2475

20.04.2012 | par herminiobovino | dança, Rio de Janeiro, video, workshop

Para compreendermos a Guiné

segunda parte do evento “Para compreendermos a Guiné 2”, com participação dos historiadores, Julião Soares de Sousa, do Leopoldo Amado, Romualda Fernandes e eng João Conduto Jr a ser realizado no audítório da Fnac do Centro comercial Colombo, hoje dia 20 de Abril, sexta-feira, as 18h.

20.04.2012 | par martalanca | Guiné Bissau

Saberes Étnico-Culturais e Saberes Científicos na Formação Intercultural - Congresso

Painel 11
11. Saberes Étnico-Culturais e Saberes Científicos na Formação Intercultural:

Maria Pombo Martins Centro de Filosofia das Ciências da Universidade de Lisboa (CFCUL) - Portugal ommartins@fc.ul.pt;
Darlinda Maria Pacheco Moreira Universidade Aberta – Portugal darmore@uab.pt;
José Manuel Cravo Pombeiro Filipe Centro de Filosofia das Ciências da Universidade de Lisboa (CFCUL) – Portugal josemanuelfilipe@sapo.pt.

A cooperação educacional entre dois países tem pressuposto uma assimetria pelo menos na medida em que os formandos têm sido exclusivamente de um dos países e os formadores exclusiva ou predominantemente do outro país. Quando os formadores cooperantes se interessam pelas culturas do país com que cooperam, podem fazê–lo movidos por interesses pessoais ou profissionais ligados às suas áreas de formação académica ou de investigação, ou induzidos por conceções educacionais que procuram fazer valer os significados das aprendizagens que propõem em função das culturas em que os seus formandos foram socializados, ou em articulação com representações conhecimentos, atitudes ou práticas dessas culturas. É a partir das culturas e sociedades dos formandos que nos propomos considerar a globalidade do processo educacional em que os cooperantes se envolvem, com destaque para os estatutos epistemológicos dos saberes e das culturas com que os formandos são confrontados e o caráter problemático da sua articulação, mas sem esquecer a relação com as dimensões sociais, económicas e políticas de tais estatutos. Uma tal abordagem pode passar pela discussão da existência de uma agenda internacional para estruturar a educação segundo princípios e finalidades generalizados a todos os países e culturas. O termo interculturalidade foi adotado por muitos que têm procurado um quadro global que supere as assimetrias e a antinomia modernidade da ciência ocidental vs ancestralidade e tradicionalidade culturais dos povos objeto de “cooperação”. Sem nos centrarmos nas questões teóricas em torno do termo “interculturalidade”, pretendemos dispor de um espaço para os que desenvolveram a sua prática sob a égide deste termo e daquele desígnio. Procuramos nomeadamente abrir este Encontro aos que no Brasil avançam com esse conceito no âmbito da formação de professores indígenas para a escola inígena diferenciada. É importante estar atentos a algumas questões que se colocam na formação intercultural no Brasil e a questões que se nos podem colocar a partir daí. Para os próprios brasileiros, pode ser interessante explorar as vantagens de um quadro de referência mais amplo – o mais amplo possível – para pensar a interculturalidade e a formação intercultural superando os ciclos viciosos resultantes de antinomias e assimetrias, sem deixar de as assumir onde elas existam. Para estes efeitos, é no mesmo quadro comparativo que nos propomos tratar estas relações entre saberes, desde o Brasil e América Latina à África e Ásia, e à Europa –– onde nos contextos escolares se colocam problemas semelhantes entre os saberes eruditos ou valores tipicamente escolares e os saberes, atitudes e valores adquiridos em culturas populares ou de grupos sociogeográficos por vezes designados como “subculturas”.

18.04.2012 | par herminiobovino | congresso, cultura, ISCTE, lisboa

Homenagem a Baltazar Lopes da Silva

No âmbito da evocação da memória e da obra de proeminentes figuras da cultura e da história cabo-verdianas e por ocasião do 105º aniversário do Homenageado, a Associação Cabo-verdiana de Lisboa tem a honra e o prazer de convidá-lo (a) a assistir à conferência “Baltazar Lopes da Silva, Filólogo e Ensaísta em Linha Recta” a proferir pelo Professor Alberto Carvalho nas instalações da ACV (rua Duque de Palmela, nº 2, 8º andar), pelas 18,30 h do próximo dia 20 de Abril, sexta-feira.

18.04.2012 | par herminiobovino | Cabo-verde, filologia, homenagem

Emerging Platforms for Artistic Production in DRC, Angola, and Mozambique, Fall 2013

Critical Interventions Special Issue on: Emerging Platforms for Artistic Production in DRC, Angola, and Mozambique, Fall 2013.

Critical Interventions invites submissions for Emerging Platforms for Artistic Production in DRC, Angola, and Mozambique, an issue that examines recent developments in arts institutions, their
administrative infrastructures, and creative practices in the DRC, Angola and Mozambique. These countries’ political and cultural profiles and influences have changed dramatically with expanding
global demand for minerals and oil. Linguistically and geographically tied to older categorizations (i.e., Lusophone, Central, and Southern Africa), there are new alliances forming among these nations as well
as with ascending cultural players, like Brazil and China. As a result of these engagements, new artistic platforms are constantly emerging: archives, state-funded spaces, independent spaces and workshops, a shifting and expanding pool of global funds for exhibitions, museums, programs, and scholarly engagement.

This issue of Critical Interventions will explore the changing and evolving relationships between artists, the state, and the local and global art markets, and particularly recent scenarios of art platforms as extensions and articulations of state, private, and individual power. We invite contributions that consider the formation and activities of these networks across media in the visual and performative arts. We are also interested in the processes of formation and politics of new artistic networks, and curatorial and exhibition strategies. Writing and work by artists, curators,
scholars, activists and other observers, particularly those working on the continent, are sought.

We invite proposals to be submitted by 15 July 2012. The deadline for the final version of the paper is 30 January 2013. Proposal for articles should be no more than 400 words. Articles should be based on
original research, which is previously unpublished and may be up to 10,000 words inclusive of the bibliography and contain up to ten images. All rights for reproduction of images must be cleared in
advance and submitted along with the final draft of each article.

Editors
: Erin Haney and Drew Thompson
Proposals of no more than 400 words should be sent to:
Erin Haney erinlhaney@gmail.com and Drew Thompson thom2429@umn.edu.

Critical Interventions, a peer-reviewed journal, provides a forum for advanced research and writing on global African arts that investigates African and African Diaspora identities in the age of globalization,
as an arena for rethinking African art history and interrogating the value of African art/cultural knowledge in the global economy. The journal inaugurates a formal discourse on the aesthetics, politics and economics of African cultural patrimony as it affects African ownership of the intellectual property rights of its indigenous systems of knowledge and cultural practices.

H-AfrArts
H-Net Network for African Expressive Culture
E -Mail: H-AFRARTS@H-NET.MSU.EDU
web

18.04.2012 | par herminiobovino | african art, angola, DRC, mozambique

Feira do Livro de Maputo 2012

III Feira do Livro de Maputo - 2012, que decorrerá nos dias 20, 21 e 22 de Abril, na Feira Internacional de Maputo (FEIMA).

A referir que a Feira está enquadrada nas comemorações dos 125 anos da Cidade de Maputo e conta com a organização do Grupo Culturando, que é constituido pelos diretores dos Centros Culturais representados em Maputo, tais como: Britist Council, Centro Cultural Americano, Centro Cultural Brasil-Moçambique (CCBM), Centro Cultural Franco-Moçambicano (CCFM), Instituto Camões-Centro Cultural Português (IC-CCP), Instituto Cultural Moçambique-Alemanha (ICMA), bem como  representações culturais das Embaixadas da Bélgica, Espanha, Itália e Suíça. Conta igualmente, com o alto patrocínio do Conselho Municipal da Cidade de Maputo e do Instituto Nacional do Livro e do Disco (INLD) tendo como parceiro principal o Banco Comercial e de Investimentos (BCI).

Ao longo dos três dias da Feira, apresentar-se-á um programa paralelo com saraus de poesias, sessões de contadores de estórias, palestras, sessões de autógrafos, monólogos  e outras atividades ligadas à divulgação da literatura e do livro em geral, por ocasião ao Dia Mundial do Livro.

A III Feira do Livro em Maputo conta com a presença de escritores internacionais:

Nii Parkes, o poeta/escritor do Reino Unido;
Chris Mclvor, escritor Britanico, originário da Escócia;
Lúcia Rosa, Editora brasileira de Livros de Cartão;
Eduardo Assis Duarte, professor da  Faculdade de Letras da Universidade Federal de Minas Gerais (UFMG) e especialista da obra de Jorge Amado.

Desta forma, o Centro Cultural Brasil.Moçambique convida a todos acadêmicos, estudantes, escritores, literatas, amantes da leitura e o público em geral, a participarem na III Feira do Livro em Maputo.

Contacto:
Nuno Maia
Tel. | +258 82 641 7209 | +258 84 587 5824
mail: naturalmente@tvcabo.co.mz   ou nunomaia@tvcabo.co.mz
Av. Joaquim Chissano, 91, R/C.
Maputo - Mozambique

18.04.2012 | par herminiobovino | feira do livro maputo, Moçambique

Aula Aberta de Antropologia Urbana em homenagem a Gilberto Velho (1945-2012)

Sexta-feira, 20 de Abril, às 18.00h, no Auditório 2 do ISCTE-IUL (edifício 1 - antigo)

Convidam-se todos os interessados a participar de uma aula aberta em torno de Gilberto Velho, a quem a antropologia urbana tanto deve.

Vamos ouvi-lo, em filme, e conversar sobre a sua vida, a sua obra, a sua relação com Portugal com António Firmino da Costa, Cristiana Bastos, Graça Índias Cordeiro, Lígia Ferro, Luís Baptista, Joaquim Pais de Brito, Rosa Maria Perez, e todos os que se quiserem juntar a nós.

Com apenas 66 anos de idade, Gilberto Velho, um dos mais eminentes antropólogos sociais brasileiros faleceu de repente na sua casa em Ipanema, no Rio de Janeiro. Professor e decano do Programa de Pós Graduação em Antropologia Social do Museu Nacional da Universidade Federal do Rio de Janeiro, Gilberto Velho foi pioneiro da antropologia urbana brasileira e deixa uma vasta obra publicada, para além de ter formado “uma imensa diáspora de ex-alunos que brilham não apenas nas melhores universidades do país como na televisão, no jornalismo e no mundo dos negócios” – como diz a mensagem publicada ontem no site da Associação Brasileira de Antropologia, da qual foi um dos presidentes.

As ciências sociais portuguesas e muito em particular a antropologia urbana estão de luto com o seu desaparecimento, pois Gilberto Velho contribuiu de forma única e incansável para o desenvolvimento e legitimação da antropologia urbana portuguesa, através de uma generosa e sistemática participação em conferências, júris, investigações, aulas, orientações, e em tantas outras actividades científicas e de divulgação, sobretudo no espaço do ISCTE-IUL, inspirando formas abertas de diálogo interdisciplinar, literário e artístico, no seio dos estudos urbanos. Ajudou, ainda, a criar uma rede de cientistas sociais em torno da sociologia e antropologia urbana, fomentando a circulação de investigadores, professores e jovens doutorandos, que em muito fortaleceram as ligações interuniversitárias aquém e além Atlântico. Conhecido pelo seu sentido de humor peculiar, parte intrínseca da sua perspicácia antropológica e da sua qualidade humana rara, Gilberto Velho perdurará na memória das ciências sociais portuguesas e continuará a ser um marco fundamental na aproximação Brasil Portugal em todos os sentidos.

18.04.2012 | par martalanca | gilberto velho

programa ZONA FRANCA 3ª semana de Abril - Bartô I LISBOA

18.04.2012 | par martalanca | zona franca

e o vencedor do BesPhoto é o moçambicano Mauro Pinto

O vencedor do Prémio BES Photo é o moçambicano Mauro Pinto, segundo escolha do júri entre os quatro finalistas que estiveram presentes na sessão desta terça-feira no Museu Coleção Berardo.
«Ainda não digeri esta vitória. Não estava à espera. Quero desfrutar do valor do prémio, não só monetário, mas a nível global, pela importância que tem», confessou o artista, citado pela LUSA.
Mauro Pinto, nascido em 1974 em Maputo, recebeu pela primeira vez este prémio, o mais importante na área da fotografia e que contempla o vencedor com o valor de 40 mil euros.
O moçambicano concorreu com 12 fotografias captadas no bairro da Mafalda, em Maputo, entre as quais retratam interiores de casas, paisagens, pessoas e ruas do local onde nasceu o futebolista Eusébio. 
Nesta 8ª edição do Prémio BES Photo, os outros finalistas eram Duarte Amaral Netto, de Portugal, Rosangela Rennó e o Coletivo Cia de Foto, ambos do Brasil.
Esta é uma iniciativa do Banco Espírito Santo e o prémio é organizado em parceria com o Museu Coleção Berardo e a Pinacoteca do Estado de São Paulo.
Pela primeira vez, o vencedor não é um artista português, sendo que no ano passado o galardão foi alargado a artistas de nacionalidade brasileira e dos Países Africanos de Língua Oficial Portuguesa, os PALOP.

ver no Buala: 

Galeria do Mauro Pinto Portos de convergência - Maputo / Luanda 

reportagem sobre o bairro Mafalala 


18.04.2012 | par martalanca | fotografia moçambicana, Mauro Pinto

[RE]alphabetika, B.Leza, LISBOA

Mito Elias & Trio Majina apresentam [RE]alphabetika que tem como temática primordial a revisitação de vários espaços sonoros e poéticos em homenagem a Jorge Barbosa, Luís Morais, Horace Silver, Cesária Évora, Corsino Fortes, Boris Vian, Amílcar Cabral, Ruy Belo, Fernando Assis Pacheco, Alberto Pimenta e tantas outras fontes de sublimação que nos servem de farol. O objectivo deste evento é procurar realçar a beleza das palavras, dos gestos, das imagens e dos sons que cada escrito sugere, para que a poesia não fique estática e empoeirada nas estantes.
[RE]alphabetika - a palavra [RE]exercitada numa [RE]dimensão pluriforme e [RE]adequada à [RE]flexão que a crise nos [RE]impõe, neste mundo cada vez mais veloz, onde as nossas [RE]lações são cada vez mais ipodéticas, facebookianas e youtubeiras. Este [RE]exercício poético feito de [RE]talhos [RE]cruzando várias [RE]ferências, [RE]lembrando de que a loucura na arte não [RE]conhece fronteiras.

29 de Abril – 21:30 - Entrada = 3 €
B:Leza - R. Cintura do porto de Lisboa, Armazém B (Cais do Sodré)

17.04.2012 | par franciscabagulho | B.Leza, Mito Elias, poesia

"Faz escuro nos olhos" - Teatro

Faz escuro nos olhos | Rogério de Carvalho e Teatro Griot numa criação colectiva.
“Faz escuro nos nossos olhos; já não ouvíamos outros passos para além dos nossos. As mãos dele tapam o clarão da lâmpada. Faz escuro nos nossos olhos.”

“Faz escuro nos olhos” coloca no centro o teatro e a sua essência: o exprimir a vida. Conceitos como o de Família, Pátria, Guerra, Velhice, Infância, Pobreza, Dinheiro são transversais neta criação.

Data | 26, 27 e 28 de Abril de 2012
Local | Auditório do Institut Français du Portugal
Hora | 21H
Preço | 12€
facebook

16.04.2012 | par herminiobovino | teatro

SOMA, 19 Abril, 18h no Elinga Teatro, LUANDA

16.04.2012 | par franciscabagulho | Elinga Teatro, Luanda

As missões cinematográficas às colónias, na Cinemateca Portuguesa - LISBOA

19:00  Cinemateca Portuguesa - Museu do Cinema - Sala Dr. Félix Ribeiro

Sessão: As missões cinematográficas às colónias

Vários 46’

 

Guiné: Aspectos Industriais e Agricultura (Augusto Seara, 1929, 11’); Costume Primitivos dos Indígenas em Moçambique (Fernandes Thomaz, 1929, 12‘); Quedas do Dala - Angola (José César de Sá e António Antunes da Mata, 1930, 6’); Planalto de Huila (José César de Sá e António Antunes da Mata, 1931, 17’)

 

Entre 1929 e 1931, a Agência Geral das Colónias e os governadores das colónias portuguesas em África encomendaram a produção de vários filmes destinados a serem mostrados na “metrópole” e em várias exposições internacionais. Para o efeito, foram contratadas pequenas equipas de cinema, pomposamente baptizadas como “missões cinematográficas”. A primeira, dos Serviços Cinematográficos do Exército, foi liderada por Augusto Seara e visitou São Tomé e Príncipe e a Guiné. Os filmes ali rodados foram mostrados nas exposições internacionais de Sevilha, Anvers e Paris. Uma segunda equipa, constituída por António Antunes da Mata e César de Sá, rodou em Angola. Uma terceira equipa, liderada por Fernandes Thomaz, visitou Moçambique (com uma paragem em São Tomé e Príncipe, onde aceitou fazer um filme de encomenda para os proprietários de plantações de cacau). O filme rodado em Moçambique seria premiado na Exposição Colonial de Paris em 1931. A maior parte destes filmes foi depois retalhada em curtas-metragens que sofreram várias remontagens ao longo do tempo.

16.04.2012 | par martalanca | tempo coonial

QUA 18 Abril, 21h // FILME + DEBATE Quem vai à guerra, no CCIF (Lisboa)

Na próxima quarta-feira, 18 de Abril, pelas 21h, o Centro de Cultura e Intervenção Feminista recebe o documentário QUEM VAI À GUERRA, um filme de Marta Pessoa que nos traz um discurso feminino sobre a guerra colonial.
Segue-se debate e temos o privilégio de contar com a participação da realizadora.

16.04.2012 | par martalanca | guerra colonial

Seminário de Estudos Africanos

A comunicação do risco ambiental em África. O caso “Bypass-Mozal” de Moçambique.
Luca Bussotti CEA-IUL

Esta comunicação pretende analisar as dinâmicas sociais resultantes do caso “Bypass-Mozal”. Durante 133 dias, a Mozal trabalhou sem filtros, aumentando o nível depoluição atmosférica nas áreas nos arredores das suas instalações. A partir dessa “crise”, e com base nas teorias da “Social Amplification of Risk”, a comunicação pretende demonstrar como se chegou a uma crise “sistémica” (usando uma expressão de Habermas), cuja base assenta na falta de confiança entre os actores sociais envolvidos no processo: empresas, políticos, associações, população e media.

18 Abril | 
18:00 | Auditório B203, Edifício II
Centro de Estudos Africanos - ISCTE/IUL
Av. das Forças Armadas
Edifício ISCTE, Sala 2N17
1649-026 Lisboa – Portugal
Tel. | +351 217 903 067
Fax | +351 217 955 361
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15.04.2012 | par herminiobovino | Estudos Africanos, seminário

Alfredo Margarido: um pensador livre e crítico

EXPOSIÇÃO | Biblioteca Nacional de Portugal | Sala de Exposições - Piso 2 | Entrada livre | até 31 Maio. Homenagem à figura multifacetada de Alfredo Margarido,  comissariada por Isabel Castro Henriques.

Professor, ensaísta, crítico literário, ficcionista, poeta, jornalista, tradutor, artista plástico, historiador, antropólogo, sociólogo, politólogo, Alfredo Margarido (1928, Moimenta, Vinhais - 2010, Lisboa) foi “um dos pensadores mais lúcidos da nossa realidade… observação que imediatamente se vai transformando em conhecimento, saber e discurso” (Perfecto Cuadrado, 2007).
Viveu em Bragança a sua infância, depois Viana do Castelo, o Porto, Lisboa e as prisões da PIDE, tendo-se instalado em meados dos anos 50 em São Tomé e Príncipe e depois em Angola. Expulso deste território pela polícia política, regressou a Lisboa em 1958, onde dirigiu o “Diário Ilustrado”, trabalhou na Guimarães Editora e fez crítica literária, utilizando a palavra para denunciar o regime, o que lhe valeumais e mais prisão. Foi um dos mais destacados intelectuais ligados à Casa dos Estudantes do Império (CEI) para a qual organizou, nos anos 60, antologias de poetas angolanos, moçambicanos e são-tomenses, tendo sido activo colaborador da Mensagem, o boletim da CEI.
O exílio levou-o para Paris (1964) onde se formou em Sociologia na École Pratique des Hautes Études, mais tarde École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS), cujos quadros veio a integrar como investigador. Enquanto professor leccionou em várias universidades francesas, em Paris, Vincennes, Amiens, e após o 25 de Abril de 1974, em Lisboa e no Brasil, continuando a sua actividade docente em Paris, na EHESS e na Universidade de Paris I Panthéon-Sorbonne.

Da sua vasta obra, muita da qual dispersa por obras colectivas – estudos, capítulos, introduções, prefácios, postfácios –, jornais e revistas culturais e científicas, nacionais e estrangeiros, destaque-se, no ensaio, Teixeira de Pascoais (1961), Negritude e Humanismo (1964), Jean-Paul Sartre (1965), A Introdução do Marxismo em Portugal (1975), Estudos Sobre as Literaturas das Nações Africanas de Língua Portuguesa (1980), Plantas e Conhecimento do Mundo nos Séculos XV e XVI (1989), As Surpresas da Flora no Tempo dos Descobrimentos (1994) ou A Lusofonia e os Lusófonos: novos mitos portugueses (2000). Na poesia publicou Poemas com Rosas (1953) e Poema Para Uma Bailarina Negra (1958). Na ficção, integrou-se na tendência do nouveau roman, publicando No Fundo Deste Canal (1960), Centopeia (1961) e As Portas Ausentes (1963). Com Artur Portela Filho preparou O Novo Romance (1962) texto divulgador dessa tendência literária. Investigador da cultura portuguesa, estudou Fernando Pessoa, mas igualmente Camões ou Jorge de Sena; também as problemáticas africanas estão presentes numa obra ensaística e crítica, multidisciplinar e incontornável, bem como na sua intervenção cívica. Traduziu James Joyce, Nathalie Sarrautte, Jonh Steinbeck, Nietzsche ou Herman Melville. Uma parte da sua obra plástica foi reunida em 33+9 Leituras Plásticas de Fernando Pessoa (1988) e em Obra Plástica de Alfredo Margarido (2007).

15.04.2012 | par franciscabagulho | Alfredo Margarido, Casa dos Estudantes do Império, Mensagem