LucFosther Diop, LesFl@mmes D’Ouvertures, QUEBEC

LA CHAMBRE BLANCHE is proud to welcome Cameroonian artist LucFosther Diop for a research and creation residency within the framework of the grant program Unesco-Aschberg for French Africa. Favoring a poetic point of view, LucFosther Diop launches a research project on neocolonialism and imperialism, and their social, political, cultural, historical, geographic, and urban influences and repercussions. Titled LesFl@mmes D’Ouvertures, this project marks a research period advocating digital and media experimentation – through photography, video, recycled web documents – aiming to build an indepen- dant web platform. The final work, hosted on LA CHAMBRE BLANCHE’s web site for six months, will include archives from all the stages of creation – ephemeral interventions, video performances, recycling files found on the web and diversion of their content’s meaning.

LucFosther Diop is a Cameroonian conceptual artist, born in Douala in 1980. He graduated in fine arts from University of Yaoundé 1 in 2003. 

+ info:  lucfostherdiop.blogspot.ca

19.06.2013 | par franciscabagulho | arte contemporânea

Ann Laura Stoler: «lutter contre les évidences, qu’elles soient conceptuelles ou politiques»

Jadis engagée contre la guerre du Vietnam, elle est aujourd’hui l’un des grands noms des études coloniales. Mêlant histoire et anthropologie, l’Américaine s’attache, comme dans «La Chair de l’empire», à démonter les dynamiques de pouvoir.

 ANN LAURA STOLER | SANDRO BABLER POUR «LE MONDE»ANN LAURA STOLER | SANDRO BABLER POUR «LE MONDE»

Raphaëll Branche

Pour Ann Laura Stoler, la prise de conscience fut d’abord politique: «La guerre du Vietnam a été un déclencheur.» Jeune lycéenne de la bourgeoisie juive new-yorkaise, elle découvre l’impérialisme américain puis la contestation qui l’accompagne alors qu’elle fait ses premiers pas à l’université. Après avoir étudié le japonais et s’être initiée au marxisme, elle s’oriente vers des études d’ethnologie et choisit comme terrain d’enquête Java, «parce que c’était près du Vietnam». Elle en revient avec le désir de travailler sur les multinationales américaines: ce sera sa thèse de doctorat, qui la convainc qu’il faut plonger dans le passé pour éclairer les structures économiques et sociales observées sur place.

Son expérience indonésienne la marque considérablement: elle a 22 ans quand elle interroge des paysannes sans terre pour étudier les effets de la révolution verte, quand elle les suit dans leurs déplacements des montagnes aux marchés où elles vendent le contenu de leurs lourds ballots. «En Indonésie, j’ai découvert un autre visage du féminisme, avec les femmes qui se touchent, qui se font toujours des accolades. Elles sont si fortes entre elles, si chaleureuses; elles se moquent des hommes». Et elle ajoute: «Elles avaient une puissance qui m’a frappée, surtout les femmes qui n’avaient rien.» Résolument marxiste, elle refuse d’appréhender la situation des femmes javanaises uniquement en fonction de leur place en tant que femmes. Si elle pointe les inégalités et les discriminations qu’elles subissent, elle insiste sur la nécessité de faire primer l’analyse en termes de classes sociales.

Son objet d’étude n’est d’ailleurs pas précisément les femmes mais «le pouvoir, toujours le pouvoir». La découverte des écrits de Michel Foucault renforcera définitivement cette orientation. Elle opère, avec lui, une relecture des sociétés impériales en affirmant que la race et la sexualité sont au cœur des dynamiques de pouvoir. Ainsi, les catégories utilisées par les autorités coloniales pour désigner les populations se révèlent des catégories éminemment politiques par l’intermédiaire des quelles les corps sont contrôlés et l’autorité s’impose aux individus. Son ouvrage Race and the Education of Desire. Foucault’s “History of Sexuality” and the Colonial Order of Things («Race et education du désir. L’“Histoire de la sexualité” de Foucault et l’ordre des choses colonial», non traduit) est son best-seller à ce jour. Elle y transgresse de nombreuses frontières: l’intime, placé au cœur de l’analyse, bouscule la répartition du privé et du public, faisant de la sexualité et des affections des lieux de production essentiels du politique, de sen droits où observer les mécanismes par lesquels se construit le consentement à la domination, comme lorsque les législateurs s’intéressent aux enfant sis sus d’unions mixtes ou que la manière dont les nourrices indonésiennes portent les bébés néerlandais se révèle être l’objet de règles implicites.

Les colonies n’y sont plus vues comme des espaces à part, loin des métropoles: au contraire, Ann Laura Stoler plaide pour un regard qui embrasse les deux dans un même champ d’analyse. Elle théorisera plus précisément cette nécessité en 1997 dans un ouvrage dirigé avec l’historien Frederick Cooper dont l’introduction vient d’être publiée en français sous le titre Repenser le colonialisme (Payot, 176 p., 17,50€). Autre transgression, disciplinaire celle-là: avec Cooper, elle fonde, à la fin des années 1980, le premier doctorat d’histoire et d’anthropologie, afin de bousculer les manières traditionnelles de travailler sur les sociétés non occidentales.

A cette époque, les études sur le passé colonial de ces sociétés étaient marquées par l’influence du théoricien de la littérature Edward Said et celle des subaltern studies, qui proclamaient renverser les perspectives dominantes en donnant à entendre la voix des colonisés. Pour Ann Laura Stoler, cependant, il ne s’agissait jamais que d’une inversion des polarités; elle proposait plutôt de changer de paradigme. Ici comme ailleurs, elle privilégiait la nuance et le doute. Elle identifiait ainsi des degrés dans la souveraineté de l’Etat et insistait sur leur évolution et leur articulation plutôt que de dénoncer un pouvoir qui aurait été dominateur de manière homogène.

Elle affiche aujourd’hui la même volonté à propos des concepts politiques et du vocabulaire philosophique qui lui servent à penser le réel: elle les veut labiles, et non rigides, ouverts au doute et non pas rassurant sou définitifs. De cette attention aux mots, elle a fait un combat et un livre, à paraître en français chez Armand Colin en 2014 (Along the Archival Grain, «En suivant la veine de l’archive»). Nul doute qu’elle veillera de près à sa traduction, comme elle l’a fait pour son nouvel ouvrage, La Chair de l’empire. Depuis son enfance, elle sait en effet l’importance du mot juste. C’était ce qui la frappait déjà dans les poèmes que sa grande sœur Barbara lui récitait pour l’endormir. Plus tard, cette dernière fut l’une des traductrices de la Bhagavad-Gîtâ, poème épique indien, la précédant à Columbia University où elle enseignait le sanskrit.

Dans La Chair de l’empire, scrutant les documents produits par l’Etat colonial néerlandais, Ann Laura Stoler montre les doutes qui habitèrent l’entreprise de domination et comment ils étaient très précisément incarnés dans la matérialité de l’archive. Les ratures, les hésitations, la chercheuse les prend au pied de la lettre: l’Etat colonial tâtonnait et l’ordre qu’il cherchait à imposer aux mots et aux choses était soumis à de multiples influences. L’archive n’est pas seulement un objet ou un et race, elle est un processus qu’il convient de décrypter. Le philosophe Gaston Bachelard est ici son maître à penser; comme lui, elle prône une attention au «détail épistémologique», qu’elle revendique comme ligne de conduite intellectuelle. Rendre compte des mots de l’archive, c’est aussi s’imposer une rigueur dans l’écriture et préférer une «éthique de l’inconfort» à la tranquillité des vérités d’autorité.

La comparaison est l’autre moyen qu’elle privilégie pour lutter contre les évidences, qu’elles soient conceptuelles ou politiques. Elle la manie en permanence, à la recherche d’une intelligence précise des «formations impériales» qu’elle veut saisir dans leurs dynamiques, quels que soient les espaces et les moments. C’est ainsi qu’elle enseigne depuis cinq ans à l’université de Birzeit, en Cisjordanie, «l’histoire coloniale comparée» avec un sens très aigu que, là-bas, l’«histoire colonial est vivante». Depuis qu’elle a découvert la Palestine, en 2008, elle s’y rend chaque année pour enseigner à Ramallah, s’est engagée dans l’organisation du premier programme de formation doctorale de l’université de Birzeit et dans un ambitieux projet de collecte d’archives privées.

Si le mur de séparation construit par Israël, les implantations des colonies au-delà des frontières reconnues par les Nations unies et, plus largement, les discriminations qu’elle a découvertes en 2008 lui ont parlé avec force de la situation coloniale qu’elle avait pu étudier dans les archives, elle a aussi retrouvé dans cette région du monde des ressemblances frappantes avec ce qu’elle avait observé en Indonésie quarante ans plus tôt: l’impérialisme américain.

Ici, là-bas, l’histoire est comme un tissu qui se plie sur lui-même, et les engagements de la chercheuse, telle une boucle, se rejoignent de nouveau, à l’université et au-delà. Dans son prochain livre, elle se penchera sur les concepts politiques qui empêchent durablement de penser et interdisent, en particulier, l’usage de certains mots pour désigner certaines situations. L’année prochaine, elle ira à Gaza.

 

Fonte: Le Monde, 14.6.2013, p. 10. Scruter l’archive era o título original. Scruter l’archive - LeMonde.fr

19.06.2013 | par raul f. curvelo | ann laura stoler, le monde, Raphaëll Branche, SANDRO BABLER

Present Tense, no Próximo Futuro I LISBOA

Inauguração: 21 de Junho, às 22h00

22 Jun 2013 – 1 Set 2013

Edifício Sede - galeria de exposições temporárias, Piso 01

Entrada 2 €

Kiluanji Kia Henda, 'The Great Italian Nude', 2010.Kiluanji Kia Henda, 'The Great Italian Nude', 2010.

Uma exposição com fotógrafos do sul da África. Olhando o passado, as fotografias não derivam de uma “constelação de etnias ou de tribos”, para referir a tese de Elikia M’Bokolo, e este é um pressuposto essencial na curadoria desta exposição “Present Tense”. Estamos bastante longe das fotografias feitas aos negros que “eram oficialmente e frequentemente descritos na mesma linguagem visual da fauna e da flora”, citando Santu Mofokeng in “The Black Album Photo”. Interessa-nos mostrar e confrontar o trabalho de fotógrafos que residem ou viajam por um conjunto de cidades maioritariamente situadas na larga região do sul de África sem que nada possa indicar qualquer identidade visual ou cultural da região. Independentemente dos géneros – retrato, paisagem documento, fotojornalismo – são as fotografias sobre o “Present Tense” que queremos mostrar e, este conceito de “Present Tense”, engloba também a tensão entre as linguagens, a opção pela cor ou pelo preto e branco e o detalhe divergindo do panorâmico. Com fotografias dos fotógrafos Délio Jasse, Dillon Marsh, Filipe Branquinho, Guy Tillim, Jo Ractliffe, Kiluanji Kia Henda, Mack Magagane, Malala Andrialavidrazana, Mauro Pinto, Paul Samuels, Pieter Hugo, Sabelo Mlangeni, Sammy Baloji e Tsvangirayi Mukwazhi.

António Pinto Ribeiro (curador)

“Present Tense” é uma coprodução do Programa Gulbenkian Próximo Futuro e da Fundação Calouste Gulbenkian – Delegação em França.

17.06.2013 | par martalanca | fotografia

Extrait du film GRIGRIS

Extrait du film GRIGRIS, au cinéma le 28 aout 2013.

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Alors que sa jambe paralysée devrait l’exclure de tout, Grigris, 25 ans, se rêve en danseur. Un défi. Mais son rêve se brise lorsque son beau-père tombe gravement malade. Pour le sauver, il décide de travailler pour des trafiquants d’essence…

GRIGRIS, extrait du film de Mahamat-Saleh Haroun.
Première mondiale : Sélection Officielle Compétition - Festival de Cannes 2013 

17.06.2013 | par martalanca | cinema, Grigris

Conferência e Exposição "José da Silva Maia Ferreira: Espontaniedades da minha alma. Às senhoras africanas" LISBOA

 Torre do Tombo, 21 de junho

Conferência: participação gratuita, mas sujeita a inscrição ( enviar email para m-remédios.amaral@dglab.gov.pt) referindo: nome, entidade, serviço e “Conferência José da Silva Maia Ferreira” em assunto.

 

     Exposição: de seg. a sex. das 9h30 às 19h30. Sáb. das 9 h30 às 12h30

  

   ENTRADA LIVRE

 

17.06.2013 | par martalanca | conferência, José da Silva Maia Ferreira

SOYA KUTU, Oficinas Criativas sobre Plantas Medicinais em S.Tomé e Príncipe

projecto de INÊS CASTAÑO e LUÍSA SEIXAS

A apropriação de um fragmento da expressão em crioulo forro Soya Kutu D’amala que dá nome ao projecto, deriva da sua utilização tradicional. Designando a resolução de um mistério lançado por um interlocutor a outro, aguardando uma resposta certeira, estabelece-se assim uma relação de partilha em torno de pequenas estórias.

Soya Kutu - Estória Curta, assenta na motivação para a autoconsciência cultural e a cidadania activa através de uma prática criativa e produtiva partilhada, concretizando-se na realização de Oficinas Criativas, procurando mediar diferentes esferas do saber através da prática criativa, com vista à preservação e promoção do património santomense.

Activando-se como recurso para o envolvimento de cada um dos participantes, definiram-se as plantas medicinais de São Tomé e Príncipe enquanto temática operativa permeável à sensibilidade de todos, capaz de estabelecer relações entre as ideias de território, património, cultura e a sua preservação.

As Oficinas Criativas, com a duração de uma semana, promoveram a construção de curtas-metragens: estórias curtas em torno do universo temático das plantas medicinais de São Tomé e Príncipe, recorrendo a metodologias e técnicas do Cinema de Animação.

PLANTAS MEDICINAIS | MEDICINA TRADICIONAL

Considerando que actualmente perto de 75% da população africana recorre apenas a plantas medicinais para se tratar - comprovada a sua segurança, eficácia e acessibilidade — estas constituem uma alternativa sustentável face aos medicamentos Ocidentais.

Partindo do conhecimento das plantas medicinais de São Tomé e Príncipe, posicionou-se o universo semântico das Oficinas Criativas na Medicina Tradicional e narrativas que lhe são próprias, procurando valorizar o património cultural imaterial autóctone, tornando-o visível e promovendo uma valiosa troca de conhecimentos e narrativas vivas.

As Oficinas Criativas tomaram como campo de acção a etnobotânica e a etnofarmacologia, uma vez que se constituem enquanto espaço privilegiado de cruzamentos disciplinares: desde questões ligadas ao estudo da botânica, à saúde, alimentação e bem estar, à cultura, práticas tradicionais e crenças locais.

A abordagem à Medicina Tradicional pretendeu despoletar o encontro intergeracional em cada comunidade, valorizando a transmissão oral do património, alertando para a necessidade da sua preservação e manutenção, despertando para novos modos de olhar o território santomense nas suas várias perspectivas — da ecologia à arte, passando pelos saberes tradicionais e pela pluralidade cultural. Neste processo promoveu-se ainda um espaço fértil e privilegiado de discussão e troca de conhecimentos entre todos os participantes.

Sob consultoria da investigadora Maria do Céu Madureira e com a colaboração de terapeutas e parteiras tradicionais locais, foi possível a partilha entre os vários modos de conhecer, utilizar e descobrir as práticas tradicionais, numa aproximação às bases para o reconhecimento e recolecção das plantas, e a urgência das boas práticas na Medicina Tradicional.

CINEMA DE ANIMAÇÃO

O recurso às técnicas e processos de animação serviu de base para a integração das várias perspectivas em cruzamento no espaço criado pelas Oficinas Criativas. O processo inerente à produção das curtas-metragens instigou à participação livre, assumindo cada um dos participantes o seu papel, de entre a multiplicidade de funções requeridas por cada estória curta: desde a escrita do guião, à concepção gráfica, do desenho à manipulação dos dispositivos tecnológicos, bem como à coordenação do grupo.

Simultaneamente, a prática criativa, aqui posta em evidência através do cinema de animação, assumiu um papel activo na aprendizagem: aprender a comunicar, a mudar de perspectiva sobre uma realidade próxima, na promoção de uma vontade de valorização activa e de produção.

A construção das curtas-metragens pretendeu promover a articulação entre o conhecimento adquirido durante as Oficinas e aquele que é já tido como saber popular: da alimentação como prevenção à necessidade da nomeação científica da botânica na partilha do conhecimento.

As valências do suporte audiovisual permitiram fazer convergir num único objecto diferentes modos de comunicar, construíndo narrativas com recurso a diferentes linguagens plásticas. A imagem cinematográfica permitiu assim estabelecer uma mediação entre os aspectos idiossincráticos de cada local, tornando-os visíveis.

EQUIPA DE TRABALHO

O projecto, concebido e coordenado por Inês Castaño e Luísa Seixas, contou com consultoria artística de Eduardo Guerra e Miguel Ferrão. Convidou-se Maria do Céu Madureira, etnofarmacóloga, como consultora e coordenadora científica.

Para a sua concretização no terreno, o projecto contou com uma equipa vasta de pessoas-recurso: líderes comunitários, associações locais, ONGD’s. Os terapeutas e parteiras tradicionais assumiram a dupla função de pessoas-recurso /consultores uma vez que, integrados na comunidade, têm a capacidade de estabelecer a comunicação entre os grupos, detendo ainda um conhecimento muito particular da medicina tradicional e das plantas medicinais.

A equipa completou-se quando, em cada local, se constituíram os grupos de trabalho, os quais contam com número variável de elementos (entre dez e quinze), constituídos de forma heterogénea, com idades compreendidas entre os sete e os dezassete anos.

METODOLOGIAS, APRESENTAÇÃO E DIVULGAÇÃO

As Oficinas Criativas realizadas na ilha de São Tomé em Agosto de 2012 decorreram em três localidades, permitindo assumir diferentes abordagens à Medicina Tradicional, tanto pelas suas características geográficas como culturais e sociais.

Se, por um lado, na Saudade , Distrito de Mé-zóxi, se procuraram as especificidades de uma comunidade rural (na sua maioria de ascendência caboverdiana), em São João de Angolares, Distrito de Caué, pretenderam-se convocar as características de uma comunidade, na sua maioria, piscatória, detentora de uma língua própria, o angolar.

Finalmente, na cidade de São Tomé , Distrito de Água Grande, o enfoque foi dado aos cuidados de higiene necessários na produção de medicamentos tradicionais.

Sob orientação de Maria do Céu Madureira, foi possível reunir diferentes aspectos relacionados com a prática activa da Medicina Tradicional, contactando com curandeiros e parteiras tradicionais de cada uma das localidades, que contribuíram com testemunhos vivenciais essenciais para as temáticas a desenvolver com os participantes das Oficinas.

Com a duração de uma semana em cada local, os primeiros dois dias de actividades foram dedicados à Etnofarmacologia e Medicina Tradicional. Neste período, Maria do Céu Madureira, em parceria com curandeiros, parteiras e produtores locais introduziu a temática das plantas medicinais específicas a cada contexto. Foram abordados os diferentes espécimens e utilizações tradicionais, finalizando-se com um passeio pelas imediações das localidades, em que os participantes identificaram e recolheram plantas medicinais segundo indicações específicas, de acordo com as boas práticas tradicionais.

Durante os restantes três dias, foram desenvolvidos os filmes, desde a concepção da storyline, sinopse, storyboard, construção de cenários e personagens, captação de imagens e sonoplastia.

Com recurso à fotografia, stop motion, edição de vídeo e áudio foram desenvolvidas 7 curtas-metragens.

Com o intuito de fornecer informação complementar, elabourou-se, em parceria com Maria do Céu Madureira, um breve glossário das mais importantes Plantas Medicinais utilizadas na Medicina Tradicional Santomense, onde se incluía a planificação diária das Oficinas Criativas, que foi distribuído a todos os participantes.

As curtas-metragens construídas durante as Oficinas Criativas foram apresentadas numa sessão pública, no dia 9 de Agosto de 2012, no Centro Cultural Português - Instituto Camões, na cidade de São Tomé, na qual estiveram presentes todos os que integraram o projecto, a quem foram entregues diplomas de participação e a compilação em dvd de todas as curtas-metragens realizadas.

No final do mesmo mês, dia 31 de Agosto - dia da Medicina Tradicional Africana - os filmes realizados foram exibidos nas estações públicas de televisão, TVS e RTP- África e durante os dias seguintes.

FILMES REALIZADOS EM SÃO TOMÉ

16.06.2013 | par martalanca | plantas medicinais, S.Tomé e Príncipe

Os Kuduristas - Angola to the World BATTLE FOOTAGE UPDATE | online

VIDEO UPDATE - STREET BATTLE FOOTAGE FROM EUROPE | Amsterdam, Paris

Afropop Worldwide

KUDURO

15.06.2013 | par raul f. curvelo | Afropop Worldwide, angola, kuduro, os Kuduristas

1º forum de diálogo sobre a capulana de Moçambique

A designer de Moda Sofia Vilarinho propõe no âmbito da sua investigação de Doutoramento em Design, o primeiro fórum de diálogo sobre a capulana de Moçambique. Identidade , cultura e moda vão ser os eixos para o desenvolvimento de um diálogo que convida à participação de todos e em especial de investigadores, designers de Moda , estilistas , alunos de design de moda, gráfico, belas artes e de antropologia, fotógrafos, comunidade africana,afro-descendente , portugueses que viveram em Moçambique. Em suma experts, leigos e curiosos,  na materia de panos que se habitam no outro lado do mundo. Lá, onde o Indico estampa histórias de encontros e (des)encontros. Este  evento que tem lugar dia 22 de Junho, no Museu Nacional do Traje, pelas 15 horas.

A participação no fórum requer uma inscrição prévia, pelo email vilarinho.sofia@gmail.com ou pelo telefone do museu : +351 217567620

 

14.06.2013 | par martalanca | capulana, Moçambique, moda

Musso – Mais um jovem negro morto pela Polícia na Amadora / Another young African murdered by the Police

 

by plataformagueto

Ontem, 12 de Junho, o Bairro 6 de Maio ficou chocado com a notícia da Morte de Musso, jovem negro de 15 anos de idade. Uma pancada na cabeça é a  causa da morte. Segundo os familiares há um mês atrás ele foi levado para a Esquadra da Reboleira e foi torturado pelos agentes policiais. Regressou a casa a queixar-se de uma forte dor de cabeça e contou a família que a polícia o tinha torturado. Dali, foi conduzido para os Serviços de Emergência do Hospital de Santa Maria. Ficou internado, durante uns dias, depois foi mandado para casa. Contudo, as dores não cessaram. O jovem continuou a queixar das dores e foi,  de novo, encaminhado para o Hospital. Desta vez, para o Hospital da Amadora Sintra. Ficou internado durante mais uns dias e ontem veio a falecer devido a uma lesão que acabou por rebentar-lhe uma veia cerebral.

Há cerca de 8 anos, no mesmo Bairro, o jovem Teti , também de 15 anos de idade, morreu da mesma forma. Já vai em 15 o número de jovens, negros e pobres , que morrem nas mãos da polícia Portuguesa   e nunca há uma condenação.  Recentemente, o agente que, em 2009, matou Élson Sanches “Kuku”, jovem negro de 14 anos,  foi absolvido da acusação de homicídio por negligência. Segundo a polícia científica, a arma foi disparada a 15 cm de distância da cabeça do jovem Élson.

A violência policial é a forma da violência mais visível que o governo português tem lançado sobre a comunidade negra em consonância com o Racismo Institucional e o terrorismo laboral. As mortes  são os casos mais extremos da violência policial que, diariamente, são perpetrados nos nossos bairros.  Já que a polícia faz o que quer nos nossos Bairros – em vez de garantir a segurança gera insegurança – e nunca é responsabilizada por aquilo que faz cabe à nossa própria comunidade auto-organizar-se e criar as condições para se defender da bestialidade policial e de outros afrontamentos.

Sem Justiça Não Há Paz

 

Another young African murdered by the Policeby plataformagueto

Yesterday, June 12th , the community of the Bairro 6 de Maio, in Amadora[1] (Lisbon) was horrified  with the new of Musso’s death, a 15 years old black male. A blow in his head is the cause of death. According to his relatives one month ago he was taken to the police station  and tortured by the police officers. He came back home complaining of strong headaches and told his family that he was tortured by the police. They took him to the Emergency Services of Saint Mary´s Hospital[2]. He stayed in the hospital for several days and was then sent home.  However, the pain didn’t stop. He kept complaining and was sent again to the hospital, this time was the Amadora-Sintra Hospital[3]. He stayed in the hospital until he died yesterday due to injuries that lead to a burst vein in the brain.

Eight years ago, in the same community, young Teti, also with 15 years old, died the same way. It is up to 15 (that we know), the number of young black and poor killed by the Portuguese police in the last ten years, without a single conviction.

Last December, the police officer that killed 14 years old Elson Sanches “Kuku” in 2009, was acquitted of the accusation of  homicide by negligence. According to the scientific police the gun was shot at the distance of 15 cm (about 6 inches) of Elson’s head living, in our and in any decent persons judgment, no doubt that it was an execution.

This acquaintance was just another white card for the police to carry on killing black youth, unpunished and with the endorsement of Mainstream Media and the Portuguese society.

Police violence is the most visible form of the Estate violence developed by the Portuguese Government against the black community in consonance with the Institutional Racism and Labor Terrorism. The deaths are just the most extreme cases of the violence perpetrated on a daily basis in our community.

Given that the police does whatever they want in our communities – in stead of guarantee our security they generate insecurity – and is never liable for their acts, it is our community’s duty to self organize and ensure the conditions to defend it self from the police brutality and other affronts.

 

Justice and Peace

14.06.2013 | par martalanca | gueto, negro, polícia

Antonio Madiata plays the lungoyi-ngoyi | online

Antonio Madiata, a player of the lungoyi-ngoyi, or traditional 2-string Kongo fiddle, plays his own composition in Mbanza-Kongo, Angola on July 11, 2012. Videography by Ned Sublette. Ned Sublette’s work in Angola was undertaken with the support of a 2012 Knight Luce Fellowship for Reporting on Global Religion, a program of the University of Southern California’s Knight Chair in Media and Religion.

Hip Deep Angola, Part 3: A Spiritual Journey to Mbanza-Kongo by Afropop Worldwide on SoundCloud - Hear the world’s sounds

13.06.2013 | par raul f. curvelo | Afropop Worldwide, angola, António Madiata, Ned Sublette

PROGRAMA ARRASTOWN#2

Atividades Permanentes
MERCADO : Áudio / Vídeo / Imagem
FOTOGRAFIA:
Exposição digital por João Pádua - “Vala Comum”
Exposição por Hugo Ganhão - “Not saved by the bell”
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Atividades para Crianças 
16h-17h30: Children4Change 
17h30: Lomografia para pais e filhos
18h-19h30: Espetáculo “Palhaço Capacete”
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PISO 0
17h: LIVE PAINTING por Raquel Faria
17h: PINTURA // STREET ART - SLAPT Sktr & EKY - Mural Marcadores // Dedicated Store
20h – 22h - JANTAR ACÚSTICO- GURI- GROOVYTUDE por Danny e Renas Mont
22h - 04H: PINTURA COLECTIVA INTERACTIVA - Weronika Marcelina Kwiatkowska & Katelinj Smissaert & Joanna Sokolnicka
22h – 02h: SLAPT Sktr & EKY - Mural Marcadores // Dedicated Store
23h - “Connect the Feed” - performer - Sérgio Cardoso ; Curador - Leonardo Grassi
01h30: ESPETÁCULO DE MALABARISMO E FOGO por Palhaço Capacete
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BAR
17h30: SCRATCH PLAYGROUND (Disca Riscos, Thundercuts ,Score)
22h: CICLO DE CINEMA SUPER 8MM acompanhado com musica ao vivo
22h45: PERFORMANCE - ” A Tabacaria” por Sérgio Cardoso
DJ´S00h - SCHOTCH
02h - DISCA RISCOS
03h – ZURC
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SOTÃO
22h30: ESPETÁCULO AUDIOVISUAL Terra dos Tambores & “Inside the projector” por Tito Silva, Márcio Pinto, Pedro Vasconcelos, Luís Pedro e IZ
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CLUB
23h30: PERFORMANCE- A vida como ela é - Flávio Hamilton e Pedro Carvalho com textos de Nelson Rodrigues e Hudson Andrade 
HIP HOP SHOW CASE
00h: - IMAGINA- DON RUBIROSA & KRON SILVA 
DJ02H - SKATA
04H - JAAKKO

13.06.2013 | par martalanca | Arrastown, Bilan, porto

Workshop Theorizing the Portuguese Colonial Experience. Images, History, Power - 16-17.Junho.2013 - Local: Companhia das Culturas, Castro Marim (actualizado)

This closed workshop is designed as an informal brainstorming meeting in dialogue with the work of Professor Ann Laura Stoler, under the following common, general, issues: What are the mutual interferences, tensions, productivities, silences, ignorances, gaps, influences between the empirical and conceptual specificities of studying the Portuguese empire, and the wider international literature on the colonial and post-colonial? How, in short, does the study of the Portuguese colonial experience interfere with old and emerging theories of colonialism and post-colonialism? 

OR

Este Workshop fechado está desenhado para promover o diálogo em torno ao trabalho de Ann Laura Stoler, em relação com as interferências, tensões, fissuras e influências existentes entre o trabalho empírico e as especificidades conceptuais do estudo do Império Português, e a bibliografia internacional sobre o colonial e o pós-colonial.

Entrada Livre sujeita a inscrição. Infos: Ricardo Roque <ricardo.roque@ics.ul.pt>

 

PROGRAMME

SUNDAY, JUNE 16, 2013

AFTERNOON

13h45 – Welcome

Eglantina Monteiro / Cristiana Bastos, Ricardo Roque, Manuela Ribeiro Sanches

14h00 - 14h45

The uses of the archive: some thoughts on colonial images and postcolonial melancholia.

Manuela Ribeiro Sanches (CEC-FLUL)

14h45 - 15h30

Empire cinema: disruptive colonial representations through Estado Novo films.

Carmo Piçarra (ICS-UL/ISCTE)

15h30 - 15h45 – Coffee Break

15h45 - 16h30

Beauty pageants and imperial power: intimacy and sexuality in the late Portuguese Empire.

Marcos Cardão (CEHC-IUL)

16h30 - 17h15

Art History, Postcolonial Theory and ‘Lusophone’ Contemporary Art.

Ana Balona de Oliveira (CEC-FLUL/IHA-FCSH-UNL)

20h00 – Dinner at Companhia das Culturas

AFTER DINNER EVENT:

Contemporary films by Filipa César and Daniel Barroca, O importante é ligar a cabeça à mão /’The important is to link the head to the hand´, vídeo e desenho

2008-2011

Filipa César, Cacheu, vídeo 10’

Selected and presented by Eglantina Monteiro and Nuno Faria

DAY 2: MONDAY, JUNE 17

MORNING

11h00 - 11h45

Were Portuguese citizens all those who were born in Portuguese territory? Fluid narratives on imperial citizenship.

Cristina Nogueira da Silva (FD-UNL)

11h45 - 12h30

Luso-tropical horrors: vulnerability, savagery, and the Portuguese in Timor.

Ricardo Roque (ICS-UL/University of Sydney)

12h30 -14h00 - Lunch

14h00 - 14h45

Bringing them in while keeping them out: colonial medicine, indigenous subjects and local agents.

Cristiana Bastos (ICS-UL)

Final comments & discussion: Ann Laura Stoler (New School for Social Research)

END OF WORKSHOP

companhia das culturas - uma casa rural de charme

12.06.2013 | par raul f. curvelo | africa.cont, ann laura stoler, centro de estudos comparativistas, companhia das culturas, cristina nogueira da silva, eglantina monteiro, filipa césar, FLUL, ics, manuela ribeiro sanches, maria do carmo piçarra, nuno faria, ricardo roque, the university of sidney

Conversations about development and culture: between politics, money, and meaning, 17 de junho, 18h, Aud. Silva Leal - Ala Autónoma, ISCTE-IUL

12.06.2013 | par martalanca | cultura

Festa da Literatura e do Pensamento do sul da África - Próximo Futuro - Lisboa

21 Jun 2013 – 23 Jun 2013, Cabana, Entrada livre, Fundação Calouste Gulbenkian 


Depois de, em 2012, termos organizado um debate público em torno das questões culturais, políticas e artísticas específicas do Norte de África e do Médio Oriente, este ano o mesmo tipo de debate mais alargado vai centrar-se na região do sul de África, ou seja, a região alargada da África Austral. O ano de 1994, que marca o fim do apartheid em África, a cedência do poder de Frederik Willem de Klerk e a eleição de Nelson Mandela como presidente, não foi só o fim de um regime inumano para a África do Sul. Teve repercussões por toda a África e, muito em particular, na região da África Austral. Dezanove anos depois qual é o panorama destes países do sul da África? Que melhorias houve? Que dinâmicas existem? Que frustrações se acumulam? Que perspetivas há para o próximo futuro? É em torno destas questões que um conjunto vastíssimo de protagonistas desta área e especialistas que acompanham as dinâmica destes países que se propõe que todos participem nesta Festa da Literatura e do pensamento do sul da ÁFrica.

Calvin Dondo, 'Frieburg', série 'New German Family', 2010.Calvin Dondo, 'Frieburg', série 'New German Family', 2010.

1.ª sessão: O estado das artes
21 de Junho 2013, 19h00

Lígia Afonso [moderadora] (Portugal) / Patricia Hayes (África do Sul) / Joan Legalamitlwa (África do Sul) / Tiago Correia-Paulo (Moçambique)

(tradução simultânea EN-PT e vice-versa)
 

2.ª sessão: Literatura
22 de Junho 2013, 18h00

Teolinda Gersão [moderadora] (Portugal) / Ondjaki (Angola) / Ivan Vladislavic (África do Sul) / Binyavanga Wainaina (Quénia)

(tradução simultânea EN-PT e vice-versa)
 

3.ª sessão: Pensamento e política 

23 de Junho 2013, 16h00

Cristina Peres [moderadora] (Portugal) / Elisabete Azevedo-Harman (Portugal) / Elísio Macamo (Moçambique) / Harry Garuba (Nigéria) / João Paulo Borges Coelho (Moçambique)

(tradução simultânea EN-PT e vice-versa)

4.ª sessão: Poesia [com leitura de poemas em português e inglês]
23 de Junho 2013, 18h00

Golgona Anghel [moderadora] (Portugal) / Joan Metelerkamp (África do Sul) / Peter Kagayi (Uganda) / Tj Dema (Botswana) / Vonani Bila (África do Sul)

(tradução simultânea EN-PT e vice-versa)

11.06.2013 | par martalanca | artes, literatura, pensamiento, próximo futuro

novidades da Aline Frazão

video do segundo disco de Aline Frazão, Movimento

entrevista à artista no programa Bairro Alto

11.06.2013 | par martalanca | Aline Frazão

1ªs Jornadas Científica - Pedagógicas do Departamento de Línguas e Literaturas Africanas, 20 - 21 de Junho 2013

Uma das funções primordiais das Instituições do Ensino Superior é promover e aprofundar o debate sobre as transformações das sociedades contemporâneas. A sociedade Angolana passa, também, por essa dinâmica académico-científica. Nesse âmbito, torna-se imprescindível considerar a interpenetração entre as realidades configuradas pela lógica da construção do Estado-Nação e as dinâmicas político-sociais instauradas pelas contantes mobilidades de pessoas, culturas e circulação de informações produzidas pela sociedade cada vez mais globalizada.

Para tal, urge a necessidade de discutir e fomentar a troca de conhecimentos que contribuam para a edificação, orientação ou mesmo reiteração de categorias conceptuais que façam frente a complexidade dos desdobramentos sociais acima referidos produzidos por essas mobilidades. As relações socioculturais, políticas e económicas construídas na e pela dinâmica do trinómio local, regional e global intensificam as interdependências entre essas dimensões. Além disso, evidenciam as limitações de velhos referenciais cognitivos que foram pensados e desenvolvidos a partir dos limites apresentados pela formação e reprodução das sociedades contemporâneas.

A tarefa a qual as Ciências da Educação, assim como as Ciências Sociais e Humanas se vêm, hoje, obrigadas é a de desenvolver referenciais cognitivos que possam lidar teórica e metodologicamente com a compreensão dos sentidos do movimento ritmado entre instabilidades e estabilidades produzidas pelas novas dinâmicas sociais.

Continuez à lire "1ªs Jornadas Científica - Pedagógicas do Departamento de Línguas e Literaturas Africanas, 20 - 21 de Junho 2013"

11.06.2013 | par martalanca | angola, línguas nacionais, literatura africana

Discoteca Luanda com BADCOMPANY - 8 de junho - lisboa

✰ BADCOMPANY PROUDLY PRESENTS: ✰
Sábado | 08 de Junho | 2013
▃▅▆ DJ ✰ BARATA ▆▅▃
►▸The Most International DJ ◂ ◀
“A discoteca Luanda pretende ser uma alternativa para os amantes da boa musica em todas as suas vertentes, com a natural inclinação para os ritmos africanos. Um espaço que ambiciona ser reconhecido pelo bom ambiente e um serviço de excelência. Um espaço para todos, mas que não abdica de impor qualidade na apresentação de quem nos visita, pois pretendemos ser também rigorosos na forma de receber.”
” A Chamada da Meia - Noite”


►▸ TRAVESSA TEIXEIRA JÚNIOR, Nº6, ALCÂNTARA ◂ ◀
ı.ılı. Dj Pausas .ı.ıllı (Official BadCompany )
.ı.ılı.Dj Fofuxo.ı.ıllı ( Official BadCompany)
(COM NOME NA GUEST LIST ou PULSEIRA) ATÉ AS 2:00
► Mulher - FREE | 1 BEBIDA
► HOMEM - 8€ | 1 BEBIDA
(SEM NOME NA GUEST LIST)
► Mulher - FREE
► HOMEM - 10€ | 1 BEBIDA
•BadLine•
Anyfa : 00351 926036987
BlackBerry Messenger: 231B9363
Sanger : 00351 961269996
BlackBerry Messenger: 27BB7B74
➧”Reserva de Mesas”➧ 966 423 538 | 967 327 765
EVENTO ➧ https://www.facebook.com/events/385631581546444
FACEBOOK BC SANGER ÁNYFA➧ http://www.facebook.com/BadCompanyLife1?fref=ts
FACEBOOK BC MÁ VIDA➧ https://www.facebook.com/BadCompanyStore?fref=ts
CLUB FANS ➧ https://www.facebook.com/pages/BadCompany-Official-Fans-Club/299131770099317
CANAL YOUTUBE ➧ http://www.youtube.com/user/KanalBADCOMPANY
BLOG ➧ http://badcompanylife.blogspot.pt/
TWITTER ➧ https://twitter.com/BadCompanytwitr

08.06.2013 | par martalanca | dj Barata, dj Fofuxo, dj Pausas

Anikulapo, documentário sobre o Afrobeat

Documentário em produção sobre o AFROBEAT e suas ressonâncias diaspóricas.

Já sob edição, ANIKULAPO precisa agora de uma ajuda final, para fechar as filmagens de forma genuína e coerente.

A convite de Seun Kuti, vamos para Lagos, Nigéria, onde captaremos o principal material para a conclusão do projeto. Além de estar em contato direto com parentes, amigos, músicos e toda a esfera afrodiaspórica que nos levou a esse chão.

Para quem quiser contribuir para a realização do filme, estamos preparando uma série de recompensas anunciadas no catarse.me/anikulapo, bem como as recompensas surpresas que divulgarei durante o próximo mês e meio.

Vocês podem acompanhar o desenrolar da campanha e do projeto por aqui e na página no Facebook:facebook.com/anikulapo.brasil

NO GO DIE!

Ficha Técnica (teaser):

Editor: Daniel Lôbo
Editor de Áudio: Dionísio Ferreira
Direção: Daniel Lôbo e Pedro Rajão

08.06.2013 | par martalanca | afrobeat, documentário

O músico moçambicano Jaco Maria lança o disco "Story Teller"

O músico moçambicano Jaco Maria, que alcançou grande sucesso no sul de Moçambique após a independência, em 1975, lançou na quinta-feira o seu primeiro álbum da carreira, “Story Teller”, para contar “as fortunas e sofrimento de África”.

Em declarações à Lusa, a partir da África do Sul, Jaco Maria diz que sempre contou histórias ao longo dos seus cerca de 40 anos de carreira, mas em “Story Teller” fá-lo com “maturidade”, ao nível da “confiança que África conquistou, muitos anos depois da independência”, mas “com a incerteza de usar as suas fortunas contra as desgraças”.

O músico, com 55 anos, considera estar mais confiante e maduro, “mas, ao mesmo tempo, com incertezas, por causa do sofrimento, apesar das fortunas que se estão a descobrir no continente”, afirma Jaco Maria, referindo-se, em concreto, aos recursos naturais que começaram a explorados recentemente em Moçambique.

Cantado para África, “mas, também, para o mundo”, o CD explora em 16 obras, 14 das quais inéditas, o afro-jazz, afro-pop e ritmos latinos, mantendo a fidelidade do músico à polivalência rítmica.

Produto do seu percurso pessoal, de Moçambique, onde nasceu, à Suazilândia, o seu primeiro destino de emigração, e à África do Sul, onde está radicado há 29 anos, “Story Teller” é cantado em inglês, português, bitonga, zulu e xhosa.

“É difícil a um pai dizer que prefere este ou aquele filho, mas a música ´A Chegada` é a mais marcante, porque conta a emoção do meu primeiro regresso a Moçambique, após muitos anos de ausência na África do Sul”, afirma Jaco Maria, ciente de estar a quebrar o tabu de os músicos nunca revelarem as suas preferências entre os seus trabalhos.

Mais informação aqui

Mas há também o “Nayo Naye”, ou “É respeitador”, na língua natal, bitonga, da província de Inhambane, sul de Moçambique, porque “nem tudo está perdido entre os miúdos, há muitos com conduta, respeitadores”.

Para estar à altura da universalidade que tenta timbrar nos seus trabalhos, o músico chamou para a gravação do “Story Teller” um percussionista de Israel, quatro instrumentistas moçambicanos e alguns músicos sul-africanos.

Produzido pela moçambicana Mafalala Records, o álbum será apresentado em Maputo em novembro, depois de ter sido lançado esta semana, na Cidade do Cabo, na África do Sul.

“Estou muito satisfeito, é uma grande emoção, porque, incrivelmente, com cerca de 40 anos de carreira, será o meu primeiro álbum, depois de o álbum “Verão” não ter sido divulgado, devido a algumas coisas que se passaram”, disse Jaco Maria.

O “Verão” não chegou a sair do estúdio da casa do músico no Cabo, África do Sul, devido à morte do seu produtor sul-africano, mas muitos temas desse disco entraram “quase clandestinamente nas rádios através de amigos muito chegados”, diz Jaco Maria, que tem feito de trabalhos como acompanhante de músicos sul-africanos.

@Lusa fonte Sapo

08.06.2013 | par martalanca | Jaco Maria, música moçambicana

State and Societal Challenges in the Horn of Africa: Conflict and processes of state formation, reconfiguration and disintegration | free download

This book brings to fruition the research done dring the CEA-ISCTE project ‘’Monitoring Conflicts in the Horn of Africa’’, reference PTDC/AFR/100460/2008. The Portuguese Foundation for Science and Technology (FCT) provided funding for this project.

The chapters are based on first-hand data collected through fieldwork in the region’s countries between 4 January 2010 and 3 June 2013. The project’s team members and consultants debated their final research findings in a one-day Conference at ISCTE-IUL on 29 April 2013.

The following authors contributed to the project’s final publication: Alexandra M. Dias, Alexandre de Sousa Carvalho, Aleksi Ylönen, Ana Elisa Cascão, Elsa González Aimé, Manuel João Ramos, Patrick Ferras, Pedro Barge Cunha and Ricardo Real P. Sousa.

FULL BOOK (Free): DOWNLOAD

 

Introduction: understanding conflict and processes of state formation, reconfiguration and disintegration in the Horn of Africa
ALEXANDRA MAGNÓLIA DIAS 

From beleaguered fortresses to belligerent cities            
MANUEL JOÃO RAMOS

The security issues behind the ethiopian intervention in Somalia (2006-2009)
ELSA GONZÁLEZ AIMÉ 

Security stakes and challenges in the Horn of Africa
PATRICK FERRAS

African Peace and Security Architecture (APSA) subsidiarity and the Horn of Africa: the Intergovernmental Authority on Development (IGAD)
RICARDO REAL P. DE SOUSA

Somalia as a market for private military and security companies: definitions, agents and services         
PEDRO BARGE CUNHA

International intervention and engagement in Somalia (2006-2013): yet another external state reconstruction project?
ALEXANDRA MAGNÓLIA DIAS

The legacy of power sharing in Kenya: literature challenges and research agenda’s invisibilities
ALEXANDRE DE SOUSA CARVALHO

Still caught in the middle: nuba political struggle and failure of comprehensive peace agreement in Sudan
ALEKSI YLÖNEN

Resource-based conflict in South Sudan and Gambella (Ethiopia): when water, land and oil mix with politics
ANA ELISA CASCÃO

08.06.2013 | par raul f. curvelo | aleksi ylönen, alexandra magnólia dias, alexandre de sousa carvalho, ana elisa cascão, Centro de Estudos Africanos, elsa gonzález aimé, ISCTE-IUL, manuel joão ramos, patrick ferras, pedro barge cunha, ricardo real p. de sousa