toda hora o Dadão

impossível não partilhar o que está a bater na banda. Muito bom!

07.05.2012 | by franciscabagulho | angola, música

FESTin 2012 - Cinema São Jorge

O FESTin começa já na quarta-feira, 9 de maio, e, para além da participação de vários realizadores, atores e produtores, contará ainda com a presença da atriz brasileira Bárbara Paz, mulher do cineasta Hector Babenco, uma das figuras homenageadas nesta edição do festival, e da modelo e atriz angolana Izilda Mussuela

Bárbara Paz estará em Portugal em representação do marido, que cancelou a sua deslocação ao FESTin por motivos de saúde, e fará também a apresentação da sessão de abertura do festival, no dia 9 de maio, às 21h00.

A sessão de homenagem a Hector Babenco e ao ator Jardel Filho, no dia 10, às 19h00, bem como a cerimónia de entrega de prémios, no dia 16, às 21h30, serão conduzidas por Izilda Mussuela.

Bárbara Paz
Formada pela Escola e Teatro Macunaíma e pelo Centro de Pesquisa Teatral CPT de Antunes Filho, Bárbara Paz já passou por diversas oficinas de artes dramáticas. Formou-se em jornalismo e trabalhou com grandes grupos teatrais. Foi dirigida por Paulo Autran, Bibi Ferreira, Eduardo Tolentino, Hector Babenco, entre outros mestres. No cinema alternativo protagonizou diversas curta-metragens. Dirige e apresenta o programa Curta na Estrada no Canal Brasil. Contratada pela Rede Globo em 2010, fez o papel de grande destaque na novela Viver a Vida, interpretando a personagem Renata, que sofria de alcoolismo.

Izilda Mussuela
Nasceu em Luanda, em 1983. Iniciou a sua carreira como modelo aos 14 anos. Depois de participar no filme O Herói de Zezé Gambôa, com 17 anos veio viver para Portugal, onde foi convidada para participar em vários desfiles. Já trabalhou com muitos estilistas como Mwamby Wassake, Lizete Pote, José António Tenente, Dino Alves, Miguel Vieira, Fátima Lopes e desfilou com modelos de Paco Rabanne, Yves Saint-Laurent, Augustus e Gianni Versace. Como atriz, entre outros trabalhos, foi dirigida por Maria Emília Correia na peça “Serviço de Amores”, de Gil Vicente, no Teatro Nacional D. Maria II, e participou na série Makamba Hotel. Na RTP Àfrica, apresenta o programa Disco África.

07.05.2012 | by herminiobovino | cinema, festival de cinema

Tertúlia Buala # 7, "o que significa ser quilombola?" 16 de maio às 21h

conversas bravias no Zona Franca no Bartô (CHAPITÔ), costa do castelo 

Estreia do documentário Kilombos de Paulo Nuno Vicente e conversa com o autor e convidados (José Eduardo Agualusa e Margarida Santos Lopes): 

“o que significa ser quilombola no Brasil contemporâneo? Quais os limites e desafios para a representação documental de uma identidade em fluxo?” 

Documentário KILOMBOS

Um homem desenha os limites da sua terra. Com um pequeno ramo de sapucaia, tenta um mapa de traços intuitivos, irregulares, mas mentalmente exatos. Clack! Quebra-o em duas porções imperfeitas para apresentar, neste chão de terra ocre, uma cartografia coletiva. Almeida é esse homem. É-o aqui e agora em Matões dos Moreira, no estado do Maranhão. Ligando vértices granulados, o retângulo é agora de pó e com isso, acreditar-se-ia à primeira impressão, vago e composto de matéria volúvel. Mas os seus traços são precisos: na exata medida em que reconstrói pelo traço uma comunidade que é, antes de mais, mental – Benedict Anderson chamar-lhe-ia “imaginada” – a sua cartografia é uma extensão caligráfica da sua identidade. Ou como diz Emília: «Nós não sabemos onde está Matões de acordo com o conflito. Mas na nossa cabeça, na nossa memória, na nossa história nós sabemos onde estamos». O sentido de pertença a uma identidade extravasa a fronteira do medo. Ser quilombola é estar para lá do lugar. Uma imagem perdura para lá do que representa. «Kilombos» é uma tentativa de cartografia antropológica para os antagonismos do Brasil contemporâneo, metonímia oral do globalizante e do ancestral em fluxo.

04.05.2012 | by martalanca | escravatura, quilombos

L’Afrique encore à l’honneur pour le Festival Babel Méd Music de Marseille

Le festival Babel Méd Music de Marseille, qui pendant trois jours, du 29 au 31 mars, offrait trente concerts de musiques du monde à quelque 15 000 spectateurs, a encore mis l’Afrique et le monde afro-caribéen à l’honneur, avec près de la moitié des artistes et groupes programmés. Hommage aux stars confirmées que sont Mory Kanté (Guinée) et Bonga (Angola), mais aussi et surtout, car telle est la vocation de ce festival qui se double d’un salon professionnel, cette 8e édition a encore permis la découverte d’une pléiade de talents émergents, venus du nord au sud du continent et des îles. Une fois de plus, Marseille confirme sa vocation de porte de l’Afrique… musicale!

La 8° édition du festival de musiques du monde Babel Méd Music, qui s’est déroulée du 29 au 31 mars à Marseille, a confirmé la place que tient l’Afrique dans le cœur du public français, et européen, amoureux des musiques du monde. Car Babel Méd Music n’est pas seulement un festival de musique mais aussi un mini-MIDEM consacré intégralement aux musiques du monde. Il réunit 2 500 professionnels venus essentiellement de France et d’Europe, pour “faire leur marché”, et découvrir, lors des concerts programmés comme sur les stands du salon professionnel qui réunit labels, agents, et autres acteurs, les artistes qu’ils programmeront dans leurs festivals et salles de spectacles.

Cette année Babel Méd Music rendait hommage à deux monstres sacrés du continent: Mory Kanté et Bonga, avec lesquels nous avons eu le plaisir de converser, hommes qui gardent toute l’énergie et la bonne humeur de leurs vingt ans, bien qu’ils aient largement dépassé la soixantaine! Mory Kanté nous revient en pleine forme, huit ans après son dernier album, avec un nouvel opus intitulé “La Guinéenne” dans lequel il veut rendre hommage aux femmes de son pays, mais aussi, à travers elles, à toutes les femmes. Il était heureux de nous raconter la naissance du centre culturel qu’il vient de construire, dans un quartier de Conakry qui porte désormais son nom - Morykantea! - centre qui abrite notamment des studios d’enregistrement et une salle de spectacles de 2 400 places, et qui est destiné à être à la fois un centre de formation de professionnels de la musique, et une salle de concerts pour les artistes du continent.

Bonga enflammait la salle, samedi soir, avec un concert mémorable qui vit le public danser sans discontinuer sous les rythmes du sembe et autres rythmes angolais. Artiste engagé, Bonga a longtemps lutté pour l’indépendance de son pays l’Angola, qui n’a eu lieu qu’en 1975. Aujourd’hui il continue à dénoncer les injustices que vit son peuple, passé de la coupe des colons à celle d’une classe de nantis qui exploite les ressources fabuleuses du pays.

Les autres artistes africains programmés étaient, comme le veut le festival, des groupes parfois connus localement mais encore méconnus à l’international, ou encore des artistes vivant en France, et notamment dans la région de Marseille, car Babel Méd Music a aussi pour vocation de mettre en lumière les artistes de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur (PACA). Région qui est un véritable vivier pour les musiques du monde, à la fois de par son histoire d’accueil de populations venues du sud (Espagne et Italie, puis Afrique du Nord, puis aujourd’hui Afrique sub-saharienne, Asie, etc.), mais aussi de par la volonté des pouvoirs publics - Région, ville de Marseille, institutions publiques spécialisées, etc. - qui encouragent vivement ces musiques métissées, reflet du métissage pacifique des populations dans la région.

Le Badume’s Band, venu d’Ethiopie, nous offrait ainsi une heure d’un spectacle époustouflant d’ethio-jazz, autour du duo constitué par la chanteuse Selamnesh Zéméné et de la danseuse Zenash Tsegaye. Cette dernière notamment nous présentait, dans une série de costumes ethniques les plus variés et les plus colorés, un échantillon des danses de son pays, où la sensualité orientale fusionne avec l’énergie africaine, sans aucune vulgarité, et où l’ensemble du corps est sollicité - mouvements du cou, de la tête, des épaules, etc.. - dans une gestuelle animée qui atteint parfois la transe… et transmet du coup cette transe au public!

Le Marseillais Ba Cissoko, qui vient de sortir un album remarquable, dans lequel il apporte un souffle de rock et d’énergie à la kora, mettait pareillement son public en ébullition, lors de son concert. La Tunisienne Emel Mathlouti venait chanter les chansons qu’elle a commencé à composer bien avant la chute du régime tunisien, et dans lesquelles elle interpellait, en arabe tunisien, le dictateur: «tu peux me blesser, tu peux me tuer, toi tu vas mourir mais mes chansons resteront…». La Sud-Africaine autant que Marseillaise Sibongile Mbambo nous offrait des chansons dans sa langue natale, le khosa, douces balades parfois inspirées par le folk anglo-saxon, à la manière d’une Asa, autre jeune star africaine d’un pays anglophone.

Tyeri Abmon, en trio, donnait une prestation très sobre de maloya, musique créole de La Réunion, à base seulement de voix et de percussions car jadis l’on interdisait aux esclaves apportés sur l’île de fabriquer leurs instruments de musique. Maloya qui était un genre interdit pendant des siècles, vivant dans la clandestinité, mais qui, belle revanche de l’Histoire, appartient désormais - depuis 2009 - au Patrimoine immatériel de l’humanité… Arrivés de Guadeloupe le matin même, les membres du groupe Soft, célèbres dans l’île pour leurs chansons engagées dans lesquels ils dénoncent tout ce qui ne va pas là-bas, nous prouvaient à leur manière - et à mille lieues géographiques de Bonga! - que les rythmes et la bonne humeur sont une excellente arme pour faire passer des messages politiquement pas corrects, et mobiliser les consciences…

Le Cap-verdien Tcheka et sa guitare, le Mayottais Bo Houss avec son hip hop, le Marseillais Imhotep (pseudo de Pascal Perez, né à Alger, et pilier du groupe de rap IAM), le trio franco-malien d’Electro-Bamako, et l’électro-rock saharien du groupe Temenik Electrik: seule la Malienne Khaira Arby manquait à l’appel, retenue à cause de la fermeture des aéroports alors que son pays vient de connaître un coup d’Etat: l’Histoire et la politique, rattrapaient une fois de plus le festival Babel Méd Music, qui ne connaît que trop, hélas, les artistes retenus faute d’avoir obtenu un visa, ou pour cause de troubles dans leur pays…

Trois jours de beaux concerts, mais aussi, dans les allées du salon, trois jours de rencontres avec des passionnés de musiques du monde - et pas seulement de musiques africaines!. Comme Gilles Frucheaux, directeur du petit label BUDA Musique, dont la collection de musiques éthiopiennes “Ethiopiques”, best-seller à l’export, notamment USA et Japon, en est à son 27e volume! Comme la Marocaine Bouchra Hbali, établie à Bruxelles, ou l’Algéro-allemande Ourida Yaker établie à Paris, chacune agent de quelques artistes du Maghreb et de Méditerranée, représentatives de ces centaines de petites structures qui défendent ces musiques d’ailleurs qui vivent essentiellement en marge des gros labels. Comme l’équipe de Safoul productions, équipe de Sénégalais passionnés qui manage plusieurs artistes africains - car ce ne sont plus seulement les “Blancs” qui s’occupent des artistes africains désormais! Comme les lauréats des “Coups de cœur Musiques du monde” de l’Académie Charles Cros, tels la réalisatrice Izza Genini pour sa collection de DVD sur les musiques marocaines ou - qui auraient dû être là - le Belge Jos Gansemans pour son “Anthologie de la musique congolaise” (RDC), série de 11 CD réalisés par le petit label Fonti Musicali avec le Musée royal de l’Afrique centrale en Belgique, ou l’anthropologue Dana Rapoport pour son livre-DVD consacré aux chants Toraja en Indonésie. Et nous ne pouvons citer les 2 000 autres participants professionnels…!

L’année prochaine, Babel Méd devrait s’ouvrir encore davantage, y compris pour ses rencontres professionnelles, au jazz et aux musiques actuelles. Le premier car les mariages musiques du monde/jazz sont de plus en plus fréquents - le jazz étant déjà, par son ADN, membre de la famille des “musiques du monde”! Et les musiques actuelles - hip hop, rap - car ce sont celles qu’écoute désormais une grande partie de la jeunesse dans le monde, y compris dans les pays du Sud.

03.05.2012 | by herminiobovino | Festival Músicas do Mundo, música africana

"RAPRESSÃO Vol.1" de Chullage

 já disponível por
DOWNLOAD GRATUITO aqui
O CD está também disponível
por 4,99€ nas lojas (Fnac por ex.),
nos concertos ou enviando um email : lisafonia@gmail.com

02.05.2012 | by martalanca | Chullage

FUTURAS PESQUISAS EM ESTUDOS CULTURAIS

No âmbito do ciclo Para uma História Crítica da Cultura no Portugal Contemporâneo (programa completo do ciclo aqui), decorre esta sexta-feira, na Livraria Sá da Costa, ao Chiado, o seminário “Futuras Pesquisas em Estudos Culturais”.

–-4 de Maio | 15h-20h | Livraria Sá da Costa15H - Quotidiano e lazer no espaço urbano colonial português em África 1890-1930
por Matheus Pereira [IHC -FCSH/NOVA]
 16H - Imagem e fotografia em Portugal
por Lais Pereira [IHC -FCSH/NOVAl]

17H - Mesa-Redonda Cinema, desporto e música – debate para uma agenda comum
Com Manuel Deniz Silva [INET-FCSH/NOVA], Nuno Domingos [ICS-UL] e Tiago Baptista [IHC-FCSH/NOVA], moderação de José Neves [IHC-FCSH/NOVA]  org: IHC-FCSH/NOVA

02.05.2012 | by martalanca | estudos culturais

A Herança da Chaxiraxi

Lançamento do livro “A Herança da Chaxiraxi” de António Gualberto do Rosário, pela Chiado Editora, na Associação Cabo-verdiana de Lisboa.

4 de Maio | 18.00
Rua Duque de Palmela, nr. 2

01.05.2012 | by herminiobovino | lançamento livro

5 de Maio – Dia da Língua Portuguesa e da Cultura nos Países Lusófonos

De que cor é a lusofonia? A que sabe a Língua Portuguesa? Que cultura é esta que temos em comum: nós, moçambicanos, guineenses, portugueses, cabo-verdianos, angolanos, timorenses, brasileiros e são tomenses? No dia 5 de Maio, sábado, vamos celebrar o Dia da Língua Portuguesa e da Cultura nos Países Lusófonos, numa festa comum, no Porto. De manhã, na estação do metro do Bolhão, numa Exposição de fotografia, com imagens da Fotógrafa Susana Neves, que retratam as texturas do que é ser lusófono e, à tarde, na sede da Associação 10pt - Criação Lusófona, na rua de S. Dionísio, 17, nas Fontaínhas, mesmo ao lado do Jardim São Lázaro. Estão todos convidados. Vamos celebrar a memória que nos une e degustar, num festim, os saberes e sabores da nossa Língua-mãe, que é património e cultura. A iniciativa é da 10pt - Criação Lusófona, em parceria com associações, grupos e centro de estudos lusófonos na cidade do Porto.

10h30
- Inauguração da Exposição de Fotografia “ai Maria” (fotos de Susana Neves) no metro do Bolhão;
- E apresentação de Danças de Moçambique (grupo “3 Estrelas”) e da Guiné (grupo “Allantatou”).

12h30
- Encontro de Gastronomia (vamos degustar iguarias de cozinheiras de São Tomé, Brasil, Angola, Moçambique e Cabo Verde, como muamba, cachupa, caril de camarão, feijão preto, brigadeiros…);
- Feira de Artesanato Lusófono.

15h00
- Música ao vivo e Bailinho Lusófono.

Apoios: Metro do Porto, SA ; Centro de Estudos Africanos da Univ. do Porto; Instituto de Sociologia UP ; Casa dos Reclamos.

Parceiros: Tane Timor ; Associação Cabo-verdiana do Norte de Portugal ; ONG ATACA; grupo de dança Allantatou; Espaço Portugal-Moçambique (Tia Orlanda) ; AE de S. Tomé & Príncipe; Associação Mais Brasil; a Tuna Universitária da FEP ; e a maravilhosa cozinheira Filó.

Com a inauguração desta Mostra de Fotografia no metro do Bolhão, o coletivo 10pt - Criação Lusófona concretiza também o lançamento de “ai Maria”, um projeto participativo de teatro, fotografia e vídeo, que conta com a participação das mulheres do centro histórico e da diáspora lusófona na Invicta. A partir das histórias de vida destas mulheres vamos resgatar a memória do Porto, o quotidiano, registando a sabedoria, os afetos e os humores daquelas que são a força motriz no coração da Invicta. Todas estas histórias, além de resultarem em podcasts, fotografias, vídeos (pequenos documentários), textos num site e em livro, vão ser adaptadas para uma peça de teatro com autoria do ator e encenador Miguel Pinheiro. Talvez, no final, saberemos, enfim, o que as mulheres mais desejam. O projeto “ai Maria” integrará em 2012 o programa do Manobras no Porto – um programa promovido pela Porto Lazer, EEM e FEDER, QREN.

A 10pt - Criação Lusófona: é uma Associação sem fins lucrativos que tem como objetivo a criação, produção e divulgação de atividades artísticas que contribuam ativamente para o surgimento e afirmação de novas dinâmicas culturais e sociais de âmbito lusófono. Criadores no ano de 2011 do projeto “Olha lá“.

Press Release/Assuntos:
1. Celebrar o Dia da Língua Portuguesa e da Cultura nos Países Lusófonos - 5 de Maio.
2. Apresentação do projeto “ai Maria“.

Contato:
tel. | 963 734 434 (Miguel Pinheiro)
mail | aimaria@10pt.org
web
web2

01.05.2012 | by herminiobovino | cultura lusófona, dança, fotografia, lusofonia, música

domingo (in)continente e Especial África no Zona Franca no Bartô - MAIO

sempre das 22h às 3h -Bartô (Chapitô) - costa do castelo, 1 ENTRADA LIVRE 

Ngoma MoçambiquNgoma Moçambiqu6 I Ngoma Moçambique - MOÇAMBIQUE

Atentos aos ritmos e instrumentos tradicionais de Moçambique, cheios de influências e referências históricas, o Ngoma transmite-nos um enigmático sentido de intemporalidade no seu improviso, criação e a execução instrumental é sacralizada.

Genitho Rasta - voz principal, banguwe, xibabatone e sanse; Diogo Santos - ritmo solo, Uta Santana - congas, bongos, chigovia e back vocal, Dito Luluxo - cabaça e percussão fina; João Cabral - baixo.

 

Mário BabremMário Babrem13 I Mário Babrem – GUINÉ BISSAU

O cantor, compositor e intérprete Mário Babrem iniciou a sua carreira na década de 80 em Bissau, com a ajuda do grande músico Patche Melo e LILI. Frequentou a escola de música José Carlos Schwarts e em 1986 torna-se vocalista do grupo musical “mini Áf (Planeta). Foi aí que se deu o salto na sua carreira. Em 1993 veio para Portugal gravar um primeiro disco que fez sucesso. Acaba de gravar PLANETA, com a ajuda do produtor Meno Júlio, do qual nos vai apresentar canções e danças em mais um concerto inesquecível das noites (In)Continente. 

 

20 I Dinis Costa  – GUINÉ BISSAU  

Dinis CostaDinis CostaNatural de Cachéu sector de caió, filho da etnia mandjaco, depois radicado em Portugal. Depois de estudos resolveu dedicar-se à música. Trabalhando como reparador de calçados para financiar a carreira músical, principalmente o álbum de estreia “Nomi di Uru”. Toca viola para amigos, em bares, discotecas, festas e casamentos. A música é uma ferramenta onde exprime os seus sentimentos, alegrias e tristezas. Sem editora, e com a ajuda de Balafon Zé Augusto, do grande produtor Meno Júlio e do meu irmão gémeo Gime Costa, consegui ufinalmente pôr o álbum de estreia  Nomi di Uru  no mercado. 

 

25 sexta-feira  Especial África concerto + dj

GingongoGingongoGingongo ANGOLA

As duas irmãs gémeas Tatiana e Tânia Araújo são as Gingongo. Nascidas em Lisboa, filhas de pais angolanos, partilham desde sempre uma enorme paixão pela música. Participaram em diversos projectos musicais e agora decidem apostar num estilo world music. Apresentam os seus originais produzidos e editados pelas mesmas, oferecendo um espectáculo cheio de paixão e magia onde só os sentidos serão os nossos guias.

Renato – baixo; Gerson Marta - guitarra e vozes; Nir Paris – bateria; Tatiana e Tânia Araújo – vocalistas.

http://www.myspace.com/gingongo/music

 

Lady G BrownLady G BrownLady GBrown

LadyGold&Brown A.K.A LadyGBrown nasce em 2003 quando quis partilhar essa paixão com mais gente. Por  influência de amigos como Selekta Lexo (Raska), Dr Bastard entre outros, começou por tocar no Bob Rasta na altura o único bar de reggae no Bairro Alto. Foi residente no bar do Colectivo Club Naval; Mexe Café; Velvet; Mesquita bar; Espaço Groove Art; Summer Echo-Costa da Caparica; Bar L; Groove bar;  Maxime;  Mood; Souk; Left; Bacalhoeiro;  MusicBox;  Jamica; Club Europa; Lisboa Festival África/Lisboa Mistura/Festival de Cinema Africano com Colectivo AfroBlu;  Club Ferroviario; Bar do Cais; Pensão Amor; Arte & Manha. Faz parte do Colectivo AfroBlu Dj’s com João Gomes- Cool Hipnoise, Johny- Cooltrain Crew e Dj Lucky. É um projecto de Música Negra onde fazemos uma viagem desde os anos 60 até aos dias de hoje, MiriamMakeba; Cesária Evora; Salif Keita; Pantera; Jorge Ben Jor; Miles Davis; Elias dia Kimuezo; PauloFlores; Bezzera da Silva; Nigga Poisson e muitos outros. O ritmo saí do continente negro, cruza o Atlântico rumo às Caraíbas e recarrega as baterias em Portugal.

 

27 I Congo Stars - CONGO KINSHASA

Congo StarsCongo StarsUma banda com sons e ritmos quentes de origem africana. Desde os sukus do Congo Kinshasa, ao semba, rumba, salsa, kilapanga, kizomba, sem esquecer a nova dança lele lele. Não faltem a este espectáculo de prazer musical.

01.05.2012 | by martalanca | música africana

O lugar do design e da moda no Norte de África

12 Mai 2012 - 9:30 – 17:30 Aud. 3 da Fundação Calouste Gulbenkian

Programador Geral: António Pinto Ribeiro / Coordenador: Frederico Duarte 


Desde Heródoto que a história do Norte de África é também a história do seu imaginário. Além das fronteiras da geografia, da religião ou da política, esta região tem sido criada e recriada em formas, imagens, palavras e sons tão díspares como os de Ingres, Le Corbusier, Dizzie Gillespie e Yves Saint-Laurent, mas também de Ibn Battuta, Umm Kulthum ou Abdellatif Kechiche. As profundas mudanças recentemente ocorridas nas ruas e regimes políticos dos seus três novos Estados democráticos abriram um novo campo de criação, mas também de projecto, aos artistas e designers magrebinos. Numa altura em que toda uma região se reinventa, de que forma pode a arte, mas sobretudo o design, contribuir para questionar esses imaginários e encontrar novos lugares para a imaginação dos seus criadores e cidadãos?

novo site do PRÓXIMO FUTURO (todo o programa e informações)

01.05.2012 | by martalanca | design, norte de africa

Dj Marfox no Zona Franca no Bartô - LISBOA

5 de Maio, sábado giródisco, das 22h às 4h

no Bartô (Chapitô) - Costa do Castelo, Lx

ENTRADA LIVRE

“Um banger de festa de bairro, um brilhante exercício de percussão, um épico tecnóide (barroco, escuro & labiríntico) e a melhor peça de garage, kuduro que já ouvimos até hoje. É o tipo de estrago benigno que DJ Marfox irá inflingir nos próximos largos anos. A sua música chega-nos com uma poética brutal, do domínio exclusivo da Lisboa periférica, um extenso pedaço de terra com um novo conjunto de padrões culturais, singularidades artísticas e de personalidade que começam as suas transmissões de alcance mundial a partir daqui. É um absoluto privilégio e uma honra partilhar este momento convosco.”

 

http://djmarfox.pt.vu/

http://www.facebook.com/DeeJay.Marfox

http://soundcloud.com/dj-marfox

 

30.04.2012 | by martalanca | dj Marfox

Conexão Lusófona - Festival

“No fundo, o que se pretende é estimular o conhecimento mútuo entre os homens e as mulheres da nossa Comunidade do amanhã, afinal são eles a geração do futuro da Lusofonia.”

Conexão Lusófona | O Festival

De 5 a 12 de Maio a cidade de Lisboa fará um périplo pela cultura dos países de língua portuguesa com várias iniciativas promovidas pela Conexão Lusófona - a primeira organização de jovens da Lusofonia.

Sara Tavares, Yuri da Cunha, Susana Félix, Manecas Costa, Júlio Pereira, Tito Paris, Couple Coffee, Luiz Caracol, Aline Frazão, Pierre Aderne, Costa Neto, Tubias Vaiana e Kay Limak são os nomes confirmados para o festival de encerramento que se realiza no dia 12 de Maio.

Enquadradas na programação oficial da semana cultural da CPLP, as iniciativas da Conexão Lusófona pretendem criar um efeito multiplicador que levem a uma maior dimensão o número de jovens que despertam para o tema Lusofonia.

Seja no âmbito cultural, por meio de novas experiências musicais, literárias e artísticas, seja no âmbito de uma presença mais ativa econsciente na dinâmica da cidadania lusófona.

As ações terão início no dia 5 de Maio, dia da Língua Portuguesa e da Cultura da CPLP, no espaço Leya na Feira do Livro de Lisboa, prosseguindo durante a semana pelas ruas e miradouros da cidade e marcando ainda presença em algumas universidades. O encerramento será assinalado a partir das 21 horas de Sábado, dia 12 de Maio, com o festival no Mercado da Ribeira.

Música, dança, debates, exposições, poesia e oficinas, com muita interatividade, performances variadas e diálogo geracional, são as notas de referência numa semana que se quer intensa.

As iniciativas da Conexão Lusófona contam com o apoio do Grupo Leya e da marca de refrigerantes Blue (Grupo Angolano Refriango), cuja estratégia de marketing se associa à missão da Conexão – promover a Lusofonia. Este projeto é ainda apoiado pela Câmara Municipal de Lisboa, CPLP, com particular empenho da Missão de Angola junto à CPLP, e Programa “Juventude em Ação” da União Europeia.

Muito em breve, a Conexão Lusófona, nascida do encontro de jovens na internet, pretende levar este projeto aos restantes países da Comunidade.

Contamos consigo para apoiar na divulgação desta iniciativa e somar forças a este movimento. Faça a reserva da sua credencial de imprensa enviando um email para festival@conexaolusofona.org e acompanhe todas estas iniciativas.

O que é a lusofonia? 
(ver vídeo)
web
facebook

(cartaz)

28.04.2012 | by herminiobovino | festival, lisboa, música africana

Alheava filme - a vida em moçambique

Manuel Santos Maia apresenta “alheava_filme”  na GALERIA NUNO CENTENO 
HOJE _ 27 Abril às 21h30
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Pré-inauguração: 6ª feira 27 Abril às 21h
Inauguração: Sábado, 28 de Abril | 16h
GALERIA NUNO CENTENO 
Rua Miguel Bombarda, 531 / 4050 - 383 Porto - Portugal
T +351 93 686 64 92 info@nunocenteno.com / www.nunocenteno.com
::
O filme: ”(…) António Manuel Machado Maia, que nos conta a sua vida em Moçambique, o seu percurso, mas que a dada altura nos confessa que existem coisas que tem “medo de dizer”.
Foi em oposição a esse medo que este filme surgiu. O autor pretendeu exactamente “fugir ao máximo a todas as interrogações, a todos os medos”,
apresentando-nos um filme que não pretende camuflar uma realidade que existiu (e damos conta dessa existência não só em factos históricos mas, sobretudo, humanos) nem tão pouco fugir à inconveniência: a guerra existiu e a escolha das imagens apresentadas dá-nos essa certeza (…) 
O decorrer dos factos, a fluidez e a sensação de se reunir tudo num mesmo sítio chega-nos no final do filme. Aqui, há a sensação de que toda a corrente de histórias se encontra, enfim, reunida para uma lucidez, uma verdade, de algo que inicialmente nos surge como uma incógnita. 
A marca disso mesmo é este filme e o facto de sabermos que é real, que a história foi vivida, ajuda-nos a perceber tudo o que o narrador diz não estar
escrito.
Não está escrito. Mas é-nos agora apresentado.”

(“alheava_filme” por Regina Machado in texto folha de sala da exposição)
O filme:
“Alhear” sugere um estado de alienação, um efeito de desvio, uma ausência de raízes, uma sensação de perda, um sentimento de deslocação. A realidade tratada é a da condição pós-colonial reflectida, por um lado, nas vivências dos portugueses que povoaram as diversas colónias africanas no período anterior ao 25 de Abril e, por outro, na trajectória de vida que estes protagonizaram na sequência do processo de descolonização. 
“alheava_filme” assume o paralelismo entre a vida política e militar e a vida privada. Com um enfoquepredominante sobre o palco de guerra (…). 
Realizado a partir de excertos de filmes feitos pelo pai na província de Nampula, “alheava_filme”contém também a história da família em Moçambique e a caracterização pessoal da própria região. 
Título original: alheava_filme
Realização: Manuel Santos Maia
Ano: 2006 – 2007
Argumento: Manuel Santos Maia 
Narrador: António Manuel Machado Maia 
Captação Original (8mm): António Manuel Machado Maia 
Edição Vídeo: Manuel Santos Maia e José Roseira
Pós-produção de imagem: José Roseira 
Concepção sonora: Manuel Santos Maia 
Engenheiro de Som: Pedro Lima 
Mistura: Pedro Lima 
Vídeo realizado a partir de originais de filmes de 8mm, editados em Mini-DV Vídeo DVD-Pal, Cor, Audio PCM Stereo
Duração: 35min
© Manuel Santos Maia, 2007

27.04.2012 | by martalanca | Moçambique, tempo colonial

ANTOLOGIA DE POESIA CABO-VERDIANA CONTEMPORÂNEA - LABORATÓRIO DE POÉTICAS

Apresentação Ricardo Riso

Esta pequena antologia de poemas apresenta alguns dos substantivos nomes da poesia cabo-verdiana contemporânea. Filinto Elísio, José Luis Hopffer C. Almada, José Luiz Tavares e Mario Lucio Sousa destacam-se no panorama literário e possuem intensa atividade intelectual no arquipélago desde a década de 1980. A produção desses poetas representa as pluralidades estéticas e de estilos, variedade temática e a busca incessante por um verbo depurado, qualidades que norteiam algumas das tendências da poesia em Cabo Verde, mostrando, cada um com suas especificidades, o amadurecimento e a consolidação do sistema literário do país. A antologia pretende dar a conhecer, ainda que de forma breve, alguns desses poetas, artífices da linguagem, e contribuir para a melhor divulgação da poesia contemporânea de Cabo Verde, ainda de tímida exposição no Brasil. Panorama que se contrapõe à excelente qualidade dos poetas revelados com o país independente, e que aqui trazemos para a apreciação dos leitores. Com isso, estimular um olhar mais atento do público brasileiro para a recente produção poética cabo-verdiana.

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27.04.2012 | by martalanca | poesia caboverdiana

Punk in Africa, hoje e dia 2 Maio no Indie Lisboa

O filme “Punk in Africa”, uma co produção checa e sul-africana, é um documentário sobre a influência da música como forma de combater a repressão.

Revela a história do movimento punk multi racial no contexto das convulsões políticas e sociais em três países africanos: África do Sul, Moçambique e Zimbábue, onde esta subcultura traduziu um impulso político radical.

Realizado por Deon Maas e Keith Jones, pode ser visto esta sexta feira (27 Abril), à meia noite, no Cinema São Jorge, em Lisboa.

27.04.2012 | by franciscabagulho | punk

Woundscapes, LISBOA

Exposição Woundscapes | Diálolgos entre a Antropologia e a Arte18 Maio a 8 de Julho | Museu da Cidade


27.04.2012 | by franciscabagulho | imigração

Dina Salústio na Faculdade de Letras de Lisboa

A escritora cabo-verdiana Dina Salústio, autora de A Louca de Serrano e Filhas do Vento, estará na Faculdade de Letras da Universidade de Lisboa para conversar com os estudantes da cadeira de Literatura Cabo-verdiana: Insularidade e Diáspora.

A aula é aberta a todos os interessados.
Data: Dia 02 de Maio
Hora: 14.00-16-00 horas
Sala: Cave 1 1 (junto ao Bar Velho)

27.04.2012 | by herminiobovino | debate, faculdade de letras lisboa, literatura caboverdiana

AfrikPlay | Filmes à Conversa‏

AfrikPlay | Filmes à Conversa é um novo projecto que apresenta filmes sobre África contemporânea, organizado pelo CRIA (Centro em Rede de Investigação em Antropologia) | ISCTE-IUL, e pelo Centro de Estudos Africanos (CEA-IUL) | ISCTE-IUL. É um projecto em construção, e deseja trazer o cinema ao espaço universitário, criando um lugar de debate e reflexão em torno de filmes que apresentem um olhar renovado sobre África.

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26.04.2012 | by herminiobovino | Africa, antropologia visual, cinema, Estudos Africanos

O regresso das noites cabo-verdianas

o coração de Lisboa, no velho bairro de  S. Bento, onde a comunidade caboverdiana desde há muito escreve boa parte da saga da diáspora além-ilhas, a cidade e as suas gentes marcam encontro com a cultura e a identidade do arquipélago de B.Léza, Eugénio Tavares, Jorge Barbosa e tantos outros ícones da história de um país  no centro da geografia e dos afectos do universo da lusofonia.

19:00 - Projeção do filme “Batuque, a Alma de um Povo”, de Julio Silvão Tavares

20:30 - Jantar Tradicional Caboverdiano
Entrada: Mandioca frita 
Prato principal: Cachupa 
Sobremesa: Bolo de Côco
Sujeito a inscrição prévia por e-mail ou telefone.

22:00 - Poesia e música caboverdiana ao vivo

Sábado, 28 de Abril
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26.04.2012 | by herminiobovino | B.Leza, cultura cabo-verdiana, filme

VIII Maratona de Leitura em Língua Portuguesa de Cáceres

A VIII Maratona de Leitura em Língua Portuguesa de Cáceres realiza-se no próximo dia 3 de maio, entre as 16:30h e as 19:30h, no coreto (“bombo de la música”) do Paseo de Cánovas.

Este ano, a Maratona será dedicada ao fado, tendo em conta a sua recente classificação como Património Imaterial da Humanidade, pelo que serão lidos livremente poemas cantados em fados e haverá também uma atuação do grupo “Fado a Três”.

No mesmo dia, às 20:30h, será projetado na Filmoteca de Extremadura, em Cáceres, o filme “Fados”, de Carlos Saura.

Junte-se a nós e venha ler (ou cantar!) ou seu fado preferido!

(cartaz)

26.04.2012 | by herminiobovino | fado, poesia, promoção da leitura